Dans quelques jours, ce spectacle n’existe plus…

théâtre/performance

YVES-NOËL GENOD

je peux avec  Sigrid Bouaziz, Bram Droulers, Nicolas Maury, Jean-Paul Muel,
Marlène Saldana, Marcus Vigneron-Coudray
oui

jeu, mise en scène, scénographie Yves-Noël Genod

je peux samedi 3 et dimanche 4 décembre à 14h30
oui samedi 10 et dimanche 11 décembre à 14h30

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Théâtre de la Cité internationale
17 Bd. Jourdan
75014 Paris

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tarif plein 21 € • tarif réduit 14 €
vendredi tarif réduit pour tous 14 €
moins de 30 ans 10 €
renseignements, location :
www.theatredelacite.com • 01 43 13 50 50 (14/19h) ou chez les revendeurs FNAC, Théâtre on line, Crous, Kiosque-jeune, Kiosque Théâtre

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Extraits du blog d’Yves-Noël Genod

– je peux / – oui


Je peux, Photo Marc Domage. Marlène Saldana, Jean-Paul Muel.

posted by Yves-Noël Genod, le dispariteur at 12:23 PM 0 comments

Ça s’est bien passé ! Le beau monde des aficionados était là, merveilleux surgissement de printemps (que l’on nourrit au champagne). Ça continue demain, jeudi et après-demain, vendredi en avant-première ouverte sans réservation – venez aider les acteurs à vous aider ! – Officiellement, c’est ensuite ce week-end, dans tous les cas, à 14h30 (nécessité de la lumière du jour). Puis un autre spectacle dans le même lieu, la semaine prochaine, plus théorique (je serai dedans) avec un seul jour d’avant-première, le vendredi 9 et le week-end en réservation.

C’est au théâtre de la Cité internationale (01 43 13 50 50) et ça s’appelle – je peux / – oui

posted by Yves-Noël Genod, le dispariteur at 10:59 AM 0 comments

Nouveau communiqué

Moi, mes amis, je ne sais pas
comment les contacter. J’ai demandé à la Cité combien de
détaxes on pouvait avoir. Illimité. Illimité ? Oui,
illimité car ça s’adresse aux amis… Les amis ? Les amis,
c’est illimité ou c’est limité ? La Cité, ils ont dû faire
beaucoup, beaucoup de réunions pour finalement décider
que, non, les amis, ça ne se contactait pas sur Facebook.
Donc je rajoute : place à dix euros en donnant mon nom,
mais dans la limite des places disponibles. Quand la Cité
estimera qu’il y aura trop de places à dix euros, ils
arrêteront. De toute manière, je suis intéressé car je
suis à la recette. Moi, ce qui m’intéresse, c’est que le
plus de monde voit mon spectacle, que je n’ai pas bossé
pour rien – et les acteurs, voilà !

posted by Yves-Noël Genod, le dispariteur at 12:29 PM

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Sous l’influence – excusez du peu – de Jorge Luis Borges,
Yves-Noël Genod propose des performances qui ne parlent de rien.
En général, les titres choisis rajoutent à l’ambiguïté. Elles ne
parlent de rien parce que – premièrement – la beauté est une
sensation physique (ou ne sera pas) et parce que – deuxièmement –
elles sont adressées. Ainsi « c’est vous qui remplirez les cases
et vous ne rendrez pas le formulaire ». C’est une administration
du bonheur.
Yves-Noël Genod déploie, dans un décor d’après-midi d’hiver, une
pièce de groupe et un solo désolé autour de la figure de la
chanteuse Barbara. Il s’agit des deux faces d’une même monnaie,il
est conseillé de voir les deux !
L’invraisemblance, c’est la naissance. L’état de l’apparition. Are
you a question or an answer ?

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Surtout ne rien faire

Malmö, le 7 octobre 2011

Je voudrais que tout soit réglé avant le premier jour des répétitions, le 4 novembre.
C’est une question de méthode, j’en parle et reparle très souvent, ce n’est pas une
méthode absolue, mais elle a produit tant de chefs d’oeuvre jusqu’à Haschich à
Marseille, la semaine dernière… La méthode, en deux mots, c’est surtout NE RIEN
FAIRE. C’est ce que j’exige (de manière dictatoriale) des acteurs et des artistes avec
lesquels je travaille. C’est bien sûr ce que j’exige de moi-même. Et j’appelle ça le
VRAI travail, en plus. Bon, pour que cette méthode soit réalisable, il faut donc que
tout soit réglé avant le début du « travail ».
Yves-Noël Genod

(extrait d’un mail adressé à Pascale Henrot)

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Chic by accident, d’Yves-Noël Genod

Chic by accident, nouvelle pièce d’Yves-Noël Genod du 13 au 17 mars à la Ménagerie de verre, à 20h 30.

La Ménagerie de verre
12/14 rue Léchevin, 75011 Paris
Métro : Ligne 3 (Parmentier)

Ligne 9 (Saint-Ambroise)
Bus : Ligne 96 (Parmentier-République)
Ligne 46 (Parmentier-République ou Saint-Ambroise)

Chic by accident
Durée estimée : 75 mn
Avec : Jeanne Balibar, Valérie Dréville, Romain Flizot, Sophie O’Byrne, Lucien Reynes, Marlène Saldana, Wagner Schwartz, Dominique Uber, Charles Zevaco
Lumière : Philippe Gladieux

 

Photo François Stemmer. Jeanne Balibar.
Photo François Stemmer. Jeanne Balibar.

J’ai assisté à une répétition, ça m’a bien plu. Je dois vous avertir que c’est très « déshabillé », des vêtements circulent entre les acteurs (en qui l’on peut voir « des hétéronymes à la Pessoa ») et se posent sur l’un ou l’autre « comme des papillons », dixit Genod. Mais il n’est pas du tout dans la provocation. Pour moi, ça accentue la vulnérabilité propre aux comédiens. Ceux-ci sont très bons et je les trouve très courageux aussi ! 

La pièce est faite de bouts et de fragments (déplacements qui paraissent aléatoires, bribes de discours, bribes de musiques) mais trouve pourtant son unité. Si le metteur en scène voit le plateau comme « la maison des acteurs » (je le cite encore), il sait aussi faire du théâtre la maison des spectateurs. L’impression est très forte de participer ensemble, comédiens et spectateurs, à un rite, à une cérémonie.

Voilà ce qu’on en dit sur le site du théâtre: 

« Claude Régy avait envoyé Claude Degliame se faire faire une robe par Madame Grès. Madame Grès a donc placé Claude Degliame entièrement déshabillée au centre d’une pièce à la moquette épaisse et elle a commencé à dérouler le tissu autour d’elle. Les fameux drapés. « Taffetas carton, bleu canard, un rien ténébreux ». Coco Chanel disait, elle aussi, qu’elle ne savait pas à l’avance comment serait sa collection car elle faisait « ses robes sur les mannequins ». Yves-Noël Genod laisse les acteurs (ainsi que les spectateurs) se vêtir de leur imaginaire. Après le diptyque de la Cité internationale intitulé : – je peux / – oui, et plus récemment, La Mort d’Ivan Ilitch, au théâtre de la Bastille, le metteur en scène présente une nouvelle pièce de groupe en forme de manifeste. « Je suis ce qui m’entoure. / Les femmes comprennent cela. / On n’est pas duchesse / A cent mètres de son carrosse. » (Wallace Stevens le dit dans un poème justement intitulé Théorie) Soient donc ces portraits : / un vestibule sombre; / Un lit à baldaquin. / Ce ne sont là que des exemples. »

Je compte y aller le 13 15.

Dominique

théâtre (alain, jean-quentin, yves-noël)

Chers amis,

 Quelle heure est-il ? Je vous écris de mon lit, Jules est près de moi, dessine dans son carnet. Frédéric/Guy est dans la salle de bain avec la radio portative. J’ai pris un Smecta et une aspirine il y a une heure pour me sortir de ma gueule de moi bois.

Avec Dominique hier, nous sommes allées assister à une lecture au Centre culturel Suisse, donnée par Jean-Quentin Châtelain, d’une compilation de textes par Alain Huck, dessinateur, à l’occasion de la sortie de son livre, Ancholia.

Ha, Je préférerais que la chambre soit encore plongée dans le noir, mais les êtres humains qui ici habitent en ont décidé autrement.

..

Face à Jean-Quentin Châtelain, acteur, lisant au micro son texte d’une voix charnue, basse, empreinte d’une forme de tendresse et monocorde, j’ai réalisé à quel point l’autre pièce que nous avions également vue ensemble, Dominique et moi, mais cette fois-là accompagnées de Vanessa, Chic by accident de Yves-Noël Genod, peut être tenue comme  une leçon de regard, une leçon de théâtre.

Leçon de regard parce que l’expérience qu’il offre, à mon avis se rapprochera de celle que ceux d’entre vous qui iront à l’exposition La saisie du modèle de dessins de Rodin, pourront faire.  On regarde le théâtre de Genod du regard avec lequel jusque là on regardait la peinture.  Son regard est un regard de peintre.  Et son objet est celui des nus, avec les acteurs comme modèles.  Leçon de théâtre parce que nous y apprenons à regarder les acteurs autrement.  Genod les ramène au cœur de ce qui a lieu au théâtre, dans un espace certainement scénique, où les acteurs sont amenés à vivre une expérience autant en leur nom et leur corps propres qu’en tant qu’acteurs, figures, détachées de l’expérience qui est la leur jour après jour, et ramenée, rapportée au théâtre, à son espace, à son dispositif, que leur présence crée.  La scène met le théâtre en place.   Les acteurs de Genod y sont des acteurs, y font, fabriquent, le théâtre –  pas de théâtre bien sûr sans eux – mais dans cet espace, Genod leur offre également de rester eux-mêmes. Phrase idiote s’il en est parce que « qui est soi » ?  Qui  reste soi ?  Est-on jamais autre chose qu’un moment de soi ?

C’est un théâtre où, je le disais, les acteurs gardent leur nom, gardent leur corps. C’est Jeanne Balibar, c’est elle, c’est bien elle que l’on voit, elle, Jeanne Balibar, nulle autre, que l’on voit droite et nue, casquée d’une bombe de cavalier, postée, butée sur ses deux jambes, une (hallebarde) à la main, fichée dans le sol, « inflexible », qui garde, défend, délimite, indique par sa présence, pour un moment, cet espace du théâtre, de la représentation théâtrale. Et on sent bien que ce qui est impliqué là, c’est autant son travail d’acteur, la générosité de Genod qu’elle saisit pour l’exprimer, ça, ce qui a lieu au théâtre, là, et nulle part ailleurs.  Elle nue, et nulle autre, nulle part, ailleurs. C’est du théâtre.  Et je comprends qu’on pense au « Regard du sourd » de Robert Wilson auquel moi-même j’avais pensé.  Le titre convient parfaitement.  C’est une pièce qui ramène au voir, à la lumière, à sa célébration ; le spectateur, c’est à lui qu’est donné le regard du peintre.  Peut-être que je délire.  Les acteurs sont des personnes que nous sommes amenés à « regarder fortement » (pour reprendre une belle expression de mon père, dans ses notes, de peintre justement (d’où le possible délire)). Quand le noir se fait (sur la scène, total), c’est repos, délice, cette sensation que l’on recouvre de l’œil habitant son orbite, habitacle, c’est enfin le rien voir, le grand noir, regarder enfin pleinement le grand noir, voir enfin rien, puis quand la lumière revient, on le voit bien que la lumière est un voile, merveilleux certes, mais un voile, une toile, cette scène devant laquelle notre regard à nous peut baisser les armes. Se rendre à soi-même.  Ce sont les acteurs qui font cela pour nous, prennent en charge, assument, cela qui nous permettra de retrouver enfin la fonction première du regard :  voir, boire, s’abreuver, interroger le réel, sentir sa caresse et la lui rendre  ( et cette dans cette idée de « tendresse du réel », qu’on creusera peut-être celle de l’amour, que Genod dit central à son expérience théâtrale.) Autre moment de théâtre, magistral, où comique et tragique révèlent, nouent et dénouent leur lien : le « Phèdre »  ( ?) de Marlène Saldana.

 

Hier donc, Jean-Quentin Châtelain, je l’ai regardé encore, comme Genod m’a appris à regarder les acteurs. (j’ai même été jusqu’à l’imaginer nu, ce qui serait advenu, si nu, il… ) Aussi l’ai-je regardé scrupuleusement, à loisir.  Sa stature, sa vêture, le choix fait par lui de ses vêtements, ce que de lui ils indiquent (pas de costume ici, je crois). Ah oui, ça me ramène à ce à quoi je pensais ce matin, les vêtements magnifiques de Genod, « costumes », comme si vraiment, au corps, on ne pouvait offrir que le plus bel écrin.  Car si  la peau est le vêtement ultime, indépassable, dépositaire de tous les secrets de la personne, la persona, loin de tous les modèles, c’est bien pourquoi les vêtements, les voiles, doivent avoir la grâce de papillons (pour reprendre une expression d’Yves-Noël Genod, parlant de la circulation des vêtements entre les acteurs : « j’aurais aimé que les vêtements circulent entre eux, se posent sur leurs épaules comme des papillons » (je cite de mémoire), ainsi que nous le rapportait Dominique quand elle essayait de nous amener à voir cette pièce.

 

Et donc, hier non, je n’ai pas fermé les yeux pour écouter Jean-Quentin Châtelain comme je l’ai vu faire par l’un des spectateurs, une voix tentante pourtant, d’une grande intelligence, de beaucoup de doutes, d’une sorte de retenue, peut-être trop constante, mais tentant quelque chose. J’ai profité de l’occasion qui m’était donnée de regarder cette bouche mâcher des mots, se retenant de les avaler, et puis tout ce corps, aussi, vêtu de noir, le pull noir légèrement fripé, à même la peau, la touche de rouge aux lacets de chaussures, la main posée presque sur le ventre, tenant le micro, cette tension dans le tenir du micro et celui du texte de l’autre main. De ce texte les feuilles format A4 qui tremblent légèrement.  Et regardant, j’écoutais la voix, cette voix humaine pleine de mots dont le sens le plus souvent m’échappait, m’en délivrant, retrouvant par moment une langue d’autrefois, perdue. Langue aussi de ces très beaux textes qui décrivent la nature de Thomas Bernard, Antonio Lobo-Antunes, Michel Leiris, Herman Melville, Amos Oz ou William Faulkner, passages descriptifs que justement, quant à moi, je sautais, quand je lisais petite, trop avide d’aller directement à l’humain, aux dialogues, à ce qui se passait entre les gens, quand je ne savais pas encore que lire ce qu’un auteur nous dit de la nature, c’est certainement en apprendre sur son paradis perdu, et le nôtre. Et que cet exercice de mettre des mots sur la nature quand ce sont justement les mots qui nous en ont séparé, est probablement l’un des plus périlleux, et digne de l’écriture, qui soient. De cette nature perdue, retrouvée dans la voix, s’y reperdant encore. Enfin, cette drôle de barbe au visage, en collier, à ce Châtelain auquel je suis heureuse d’avoir pu serrer la main en quittant le Centre Culturel Suisse

Donc, oui, allez voir, allez voir Rodin, je crains de mon côté ne pas pouvoir, profitez-en bien, cependant que j’espère que la prochaine fois, vous viendrez avec nous au théâtre…

Je vous salue, ô Escapadeurs,

véronique

NB : je regrette  de ne pas pouvoir vous de dire plus de l’artiste Alain Huck, mais je n’ai pas pas vraiment eu le temps de  visiter l’exposition  et je ne connais pas du tout son œuvre, que des recherches sur internet m’ont donné l’impression d’être intéressante.

LIENS:

etc.

Bonjour à tous et à toi Géraldine et à toi Vanessa, bon retour parmi nous, j’espère que nous aurons par vous quelques retours sur Tel Aviv et la lecture (du symptôme) où j’aurais tant voulu aller (( « Lire un symptôme », X° Congrès de la New Lacanian School, Tel Aviv, 16 & 17 juin 2012. )) (même si cela peut paraître politiquement incorrect aux yeux de certains d’aller en Israël, je me sens personnellement politiquement engagée et active, même quand cet engagement ne suit pas les grand-routes toutes faites de l’engagement politique – convictions emplies de certitudes, appartenance à un parti ou à un groupe marqué « politique », distribution claire et sans ambigüités de mes sympathies et de mes antipathies – je me sens de part mon éducation religieuse ( !) foncièrement de gauche probablement, mais la psychanalyse m’a appris à me méfier d’un communisme et/ou d’un humanitarisme en son fond chrétien, et j’ai le sentiment qu’il serait bon peut-être de baliser, au moins un peu, de nouvelles façons d’engagements, de voies politiques. je dis ça rapidement, en passant, mais sans vouloir passer dessus, parce que cela m’inquiète et que je souhaite diriger ma réflexion sur ce sujet dont je n’ai à ce jour que l’intuition.)

Ma maman arrive demain matin. Je compte avec elle revoir l’exposition des Nus de Degas ainsi que l’exposition Gerhard Richter. Mais, je ne sais pas encore quand, je sais seulement que je ne souhaite pas voir l’exposition Richter à un moment où il y aurait trop d’affluence. Par contre, nous pourrions très bien, je crois, voir le Faust avec vous, toutes les deux, et avec grand plaisir. Dites-moi seulement quand ? MK2 Beaubourg me convient bien sûr.

Demain soir, je vais avec Guy et Dominique découvrir le dernier spectacle d’Yves-Noël Genod (dont nous vous avons déjà parlé sur la liste) au Rond-Point. Que ceux celles qui le souhaitent n’hésitent pas à se joindre à nous. Vanessa ? C’est peut-être malheureusement trop tôt pour toi ? Mais tu avais aimé le précédent spectacle, non ? De nombreux acteurs qui jouaient dans « Chic by accident »  jouent à nouveau dans celle-ci –  Marlène Saldana (de toujours pour toujours, abominablement talentueuse et sympathique), Valérie Dréville (qui lit des textes de cet étrange auteur, Hélène Bessette, pour qui Duras avait beaucoup l’admiration ) et Dominique Uber (« (mais Dominique a été danseuse chez Maguy Marin, elle sait marcher sur la terre cabossée et meuble tout en portant un enfant, un meuble, je ne sais quoi…) »). Ça s’appelle « Je m’occupe de vous personnellement », voir là : http://2011-2012.theatredurondpoint.fr/saison/fiche_spectacle.cfm/110869-je-m-occupe-de-vous-personnellement.html et sur le blog d’Yves-Noël Genod :  http://ledispariteur.blogspot.fr/

J’aurais aimé également vous inviter à dîner, chez moi, chez nous, pendant que ma mère sera là… mais là aussi, suis un peu débordée un ce moment et vais devoir faire de terribles efforts d’organisation… (à cause de quoi je vais devoir mettre la pédale douce sur les publications sur le blog, désolée. s’il y a quelque chose dont il vous semble qu’il doive absolument être publié, envoyez-moi un petit mail, d’accord?)

tout ceci est un peu alambiqué, voire ampoulé, et je vous prie de bien vouloir m’en excuser,

vous embrasse fort,

 véronique