format standard

d’un travailleur à un autre

(ça rêve chez moi parfois ou quelque part d’une vie bien ordonnée claquée claqué al q calquée sur les rythmes usuels des travailleurs du monde entier comme

si des horaires clairs et bien marqués m’aideraient à
affronter

ce qui dans ma tête parfois prend des allures de
bordel, d’incontenables débordements (et ces choses en trop qu’on me demande, et ces réponses que je ne peux pas toutes apporter),

qui m’offrent cependant l’avantage de m’abriter de ce que personne ne me demande, d’autre que moi – ce serait ça, la faute. cet abri que je prends de moi-même.

et alors que, faut-il le dire, je me suis si bien arrangée pour n’avoir justement à suivre d’autres horaires que les miens – et ça n’est pas toujours facile.

si je me suis trop plainte, pardonnez-moi.
j’apprécie beaucoup de travailler avec vous. )

6 avril 2006 - 10:01 / disparates /