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in the morning (chirac et l’addiction)

/ j’aurai commencé la journée avec des harengs sauce moutarde de chez Ikéa / j’aurai également commencé la journée avec une douche prise / j’aurai commencé la journée comme une vraie travailleuse / aujourd’hui, c’est 5 heures que je dois faire. j’ai dimanche fait mon planning du mois, c’est presque enthousiasmant : si ça marchait / je n’ai pas casé, nulle part, l’écriture. travail, uniquement travail, 5 heures par jour, week end non-compris.

hier encore une fois, j’ai regardé la télévision. qu’on veuille tenir cet aveu pour un mea culpa. il y a eu alexandre le bienheureux, dont j’avais gardé un souvenir d’enfance assez joyeux qui a été déçu – légèrement : on voit quelques minutes du film et du haut de toute son expérience, on sait à quoi on a affaire, on n’est pas libre de continuer à regarder ou pas (oui, je pourrais, vous le demander, de quoi, vous sentez-vous libre? vous dites, libre d’éteindre la télévision? eh bien, parlez pour vous, continuez, mais que cela s’entende, que vous ne parlez que pour vous-même, mais non, je n’ai rien contre, sachez seulement, etc.) – contrainte, je suis, de continuer à regarder des conneries, surtout des conneries (vraiment, vous pensez qu’il en sait quelque chose, chirac, de l’addiction) ; ensuite, un film de mocky, avec bourvil, un étrange citoyen, c’est ça? je ne sais plus.

maintenant, je dois travailler. (en vérité, je n’ai que 4 heures à faire, parce que hier, j’en ai fait 6, 6h 14, plus précisément).

2 mai 2006 - 8:22 / disparates /