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disparates

ouverture disparates

donc, c’est ce jour-ci que j’ai ouvert disparates, fermé to be or. dont j’ai récupéré quelques notes. entre autres toutes celles de la rubrique n’importe quoi.

18 février 2006 - 15:23 / disparates /

je veux

  • éthique et pulsion
  • Jacques Lacan
    Le Séminaire livre XVI.

    D’un Autre à l’autre. 1968-1969
    Texte établi par Jacques-Alain Miller
    Champ Freudien, Collection dirigée par Jacques-Alain et Judith Miller
    Éditions du Seuil
    Couverture : Salvador Dali, Le visage de la guerre 1940-1941.

    Table :
    Introduction
    I. De la plus-value au plus-de-jouir

    L’inconsistance de l’Autre

    II. Marché du savoir, grève de la vérité
    III. Topologie de l’Autre
    IV. Le fait et le dit
    V. Je suis ce que Je est
    VI. Vers une pratique logicienne en psychanalyse

    Du pari de Pascal

    VII. Introduction au pari de Pascal
    VIII. Le Un et le petit a
    IX. De Fibonacci à Pascal
    X. Les trois matrices
    XI. Débilité de la vérité, administration du savoir

    La jouissance : son champ
    XII. L’événement Freud
    XIII. De la jouissance posée comme un absolu
    XIV. Les deux versants de la sublimation
    XV. 39 de fièvre
    XVI. Clinique de la perversion

    La Jouissance : son réel
    XVII. Pensée censure
    XVIII. Dedans dehors
    XIX. Savoir pouvoir
    XX. Savoir jouissance
    XXI. Apories réponses

    La jouissance : sa logique
    XXII. Paradoxes de l’acte psychanalytique
    XXIII. Genèse logique du plus de jouir
    XXIV. De l’un en plus

    Évacuation
    XXV. L’ignominie ravissante de l’hommelle

    Annexes
    Fibonacci saisi par Lacan, par Luc Miller
    Aide au lecteur, par Jacques-Alain Miller
    Dossier de l’évacuation
    Index des noms propres.

    Quatrième de couverture:
    *Je lis sous la plume de Sollers que Claudel est d’abord pour lui celui qui a écrit : « Le Paradis est autour de nous à cette heure même avec toutes ses forêts attentives comme un grand orchestre invisiblement qui adore et qui supplie. Toute cette invention de l’Univers avec ses notes vertigineusement dans l’abîme une par une où le prodigue de nos dimensions est écrit ».
    Eh bien, Lacan est pour moi celui qui dit dans ce Séminaire : « L’enfer, ça nous connaît, c’est la vie de tous les jours ». C’est la même chose ? Ah, je ne crois pas. Ici, pas d’adoration, pas d’orchestre invisible, ni vertiges ni prodiges.
    Commençons par la fin : Lacan « évacué » de la rue de l’Ulm avec ses auditeurs, non pas sans résistance et tapage. L’épisode défraya la chronique. Qu’avait-il donc fait pour mériter ce sort ? S’adresser, non pas seulement aux psychanalystes, mais à une jeunesse encore grisée par les événements de mai, qui l’accepte pourtant comme un maître du discours dans le même temps où elle rêve de subvertir l’Université. Que leur avait-il dit ? Que « Révolution » veut dire revenir à la même place. Que le savoir impose désormais sa loi au pouvoir, et qu’il est devenu immaîtrisable. Que la pensée est comme telle une censure. Il leur parle de Marx, mais aussi du Pari de Pascal, qui devient entre ses mains une nouvelle version de la dialectique du maître et de l’esclave, et aussi des fondements de la théorie des ensembles. On passe à une clinique de la perversion, aux modèles de l’hystérique et de l’obsessionnel. Tout cela communique, scintille, captive.
    Entre les lignes, se poursuit le dialogue de Lacan avec lui-même sur le sujet de la jouissance, et le rapport de celle-ci avec la parole et le langage*. Jacques –Alain Miller

    430 pages, Le Seuil, Paris, 2006

21 février 2006 - 14:32 / disparates /

eh bien, voilà

(is this a hamlet thing? kind of, probably Рand i know nothing about it. ̫ d̩sespoir. ̫ d̩sespoir.)

Ecrire écrire et ne pas regarder surtout pas. Je le voulais ce blanc ce blog ce blog ce blanc je l’ai je le voulais eh bien voilà je l’ai. Je n’en veux plus, c’est pas grave, je dois l’avoir, maintenant, c’est fait, ça y est, c’est blanc, c’est blog, c’est titré, c’est sous-titré, c’est harnaché, c’est ceinturé, c’est clôturé, c’est blanc, c’est plus vert, c’est balisé, c’est verdana, c’est ok, faut arrêter. Faut s’habituer. Faut pas regarder. Faut tester.

23 février 2006 - 13:41 / disparates /

déb Or d

(pas de débordement qui ne soit de jouissance)(enfin j’ai beau dire)

23 février 2006 - 15:19 / disparates /

l’a-mise en page (1)

(péché de mise en page)

25 février 2006 - 13:19 / disparates /

l’a-mise en page (2)

oui ? le péché de mise en page mon père . le péché . oui , j’ai vraiment péché c’est pourquoi je supplie la vierge marie les anges et tous les saints et vous aussi mes frères de prier pour moi le seigneur votre dieu . c’est pourquoi je supplie .

26 février 2006 - 12:40 / disparates /

journal

quelques jours partis, dans un autre pays.

1 mars 2006 - 10:53 / disparates /

se faire livre (1)

la propension, celle de tout écrire, faire livre / la mise en page, fait l’ivre

4 mars 2006 - 12:16 / disparates /

se faire livre (2)

cette histoire de brouillon (v. jp balpe sur to-be-or), c’est comme une damnation, d’écriture perpétuellement en train de se faire. se faire livre / se faire lire, ça n’est pas la même chose. se faire livre est une façon de se faire lire. mais se faire livre délire sur la chair. délire, ment. jouit, s’enivre, livre; or celle de chair paiera / dans son coin, seule / ou ne paiera rien du tout ou ne paiera rien du tout / or celle de chair livre paiera. / point final. / barre

4 mars 2006 - 12:39 / disparates /

se faire livre (3)

je m’ents-livre (le péché de non-chair, mon père). l’amise en page / en image

4 mars 2006 - 12:51 / disparates /

se faire livre (4)

Chère, Cher,
Dès que je vois ce que je fais, cela devient insuportable
Bien à vous,
V.

NB: Il va falloir que je me résolve à écrire les yeux-bandés – je ne vois pas d’autre solution

4 mars 2006 - 13:28 / disparates /

se faire livre (5)

alors, ça serait plutôt la damnation de l’écran.

4 mars 2006 - 13:48 / disparates /

El hogar de los Españoles

Bonjour, j’ai découvert, tu veux bien, me raconter, tu veux bien, une histoire? Voilà. Ah! Je savais bien qu’elle te plairait, je savais bien qu’elle te plairait,

Mail de C.Z.
J’ai découvert l’endroit le plus incroyable au monde, un ancien cinéma des années 30, presque intact, dont le hall est devenu une sorte de cantine avec tables en formica, squattés par des retraités Espagnols, et tenez-vous bien, une église désafectée de la même époque, squattée par ces mêmes retraités, je dis squattés, pour aller vite, mais ça leur appartient, quelques photos suivent, ( avec les fauteuils en bois d’époque) je pense qu’il faut en faire un film, ça vous intéresserait pas ?
Posté par Christophe Atabekian | 01 novembre 2005 13:52:08 | Commentaires (0)

5 mars 2006 - 12:01 / disparates /

des noms et des noms propres

C’est que les noms m’importent. Ils m’importent en particulier à propos des Juifs. A la différence de millions de gens sur la surface de la Terre, je ne crois pas que les Juifs soient une race; je ne crois même pas que par des voies culturelles, ils aient acquis des caractères qui les feraient se ressembler entre eux (au sens où nous disons, en conversation, que les Français sont ceci, les Allemands sont cela, etc). Les Juifs, c’est un nom.
[…]
Soit donc la proposition : le propre de la politique issue de la Révolution française, c’est de ne pas poser la question des noms.
[…]
le nom de Juif est d’abord un nom proféré en première personne;
[…]
La plupart des noms d’une langue sont des noms de 3e personne. Ils se reconnaissent à ceci qu’ils peuvent s’employer de manière prédicative, dans la mesure exacte où ils s’analysent comme un paquet de prédicats. En revanche, insulter quelqu’un, le traiter de salaud, ce n’est pas lui attribuer un prédicat, ce n’est même pas le faire entrer dans une classe : les salauds sont ceux qu’on traite de salauds (où l’on retrouve Sartre); la circularité est ici structurante. La phrase apparemment prédicative « Untel est un salaud »n’est pas vraiment prédicative; elle est la transposition en 3e personne d’une insulte de 2e personne. Quant à l’aveu « Je suis un salaud », il intériorise une insulte, qu’elle ait été proférée ou pas.
En tant que Juif est un nom de 1e personne, les Juifs sont ceux qui disent d’eux-mêmes « je suis Juif ». Mais ce propos, là encore, n’est qu’apparemment prédicatif. Le pseudo-prédicat est une réitération du sujet. C’est une manière de dire « je ». On est plus près de la proclamation performative, au sens de Benveniste, que du jugement d’attribution. L’insulte de 2e personne, « sale Juif », vient en second temps; c’est de fait une convocation requérant le sujet de dire de lui-même « je suis Juif », mais non pas sur le mode de la proclamation performative; bien plutôt sur le mode de l’aveu. La phrase de 3e personne « Untel est Juif » est transposition d’un énoncé de 1e personne ou de 2e personne, suivant les circonstances.
[…]
Si profondément que je m’inscrive en 1e personne dans mon nom propre, ce nom m’a été donné.

Réflexions sur une lecture. Seconde partie Théorie du nom juif par Jean-Claude Milner

5 mars 2006 - 20:48 / disparates /

vivre

tu es parti, tu m’as laissé des disques, j’écoute : king geedorah take me to your leader. oui, je suis triste, non, je m’en sors pas, oui, j’essaie de bien le prendre. et je préfèrerais me donner congé, me coucher ou m’en aller, sortir avec Jules. l’appartement est très bien rangé/ j’ai dû me batte ce matin avec une erreur php. quel ennui, comme si.

13 mars 2006 - 12:21 / disparates /

v ivre

mais surtout, tout ça, est trop lent.

13 mars 2006 - 12:51 / disparates /

13 mars 2006 - 16:18 / disparates /

so yout want something else, huh

http://art.teleportacia.org/observation/alien/

20 mars 2006 - 22:01 / disparates /

Trans.: Re: Rép. : Re: [FREDERICMAGAZINE]

exposition d\'isabelle boinot et frederic poincelet(dans la série transmets ce qu’on te transmet)

23 mars 2006 - 14:01 / disparates /

blog

de quoi le travail nous protège – nous devrions remercier nos élus de – j’ai acheté le livre de ph. de georges sur la pulsion – je ramène tout à l’heure les livres à la bibliothèque . je n’ai pas beaucoup le temps de lire – ce n’est pas le temps de lire pour moi . au bout d’un temps on se rend compte que les temps, ça existe, dans une vie . la seule chose que j’aurais à te reprocher finalement c’est d’être un homme . et les trucs que ça implique . je pense aux trucs sexuels , le reste: passe encore.

pendant la manifestation, je regardais paris. c’était il y a une semaine exactement. qui paradoxalement me paraissait désert, dénudé, déshabillé. sentiment de solidarité non, ce n’est pas celui qui dominait / d’organisation grosse / qui fait alors une foule étendue nombreuse dispersée – sans compacité / seule avec parfois des chansons idiotes / mais le sentiment tout de même que c’est ça, qu’il faut faire, marcher, avec les gens qui sont là, loin, là. // alors plutôt un sentiment de beauté, de grandeur. paris, la lumière, ce boulevard, la rue. de beauté, d’humanité.

25 mars 2006 - 8:11 / disparates /

les lettres à moi-même (1)

je m’écrivais des lettres à moi-même, à moi-même sous d’autres noms. l’un des prénoms, je m’en souviens, c’était sonia.

(mon père s’en était rendu compte, enfin, forcément, qu’il s’en était rendu compte, ça l’avait beaucoup fait rire. mais ce sont des rires qu’on ne comprend pas. on est là, avec son père, dans le couloir, debouts, dans la lumière du jour de l’entrée, du marbre blanc, qui vous donne la lettre, il est grand, son pantalon est beige, il rit.)

il y a eu delarue, aussi, comme nom.

25 mars 2006 - 8:21 / disparates /

boulot

ça tourne au cauchemar.

27 mars 2006 - 22:44 / disparates /

les lettres à moi-même (2)

Sous un autre nom nom /

                                         j’avais pris celui de « Nathalie Granger » – ne me souvenant plus du tout du personnage de Duras (je ne le savais plus, je ne l’avais jamais su, rien ne dit que je le sache à nouveau – non, je ne sais d’où m’est venu ce nom).

                                        – n. grand g –

28 mars 2006 - 22:03 / disparates /

nuages


dans un rêve dans la nuit dans la tête Et,
plus Tard,
je serai devenue seule

3 avril 2006 - 17:17 / disparates /

3 avril 2006 - 17:31 / disparates /

3 avril 2006 - 19:46 / disparates /

3 avril 2006 - 19:49 / disparates /

3 avril 2006 - 20:15 / disparates /

3 avril 2006 - 20:38 / disparates /

j’étais très fatiguée. j’ai envoyé des factures.
après, ça aurait été bien de pouvoir dormir.

4 avril 2006 - 11:43 / disparates /