23 septembre 2005

Histoire de temps ( celui qui peut projeter le passé dans le futur)

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$chaine_abc= »Quand je me réveille, toutes les difficultés afférant* au travail dans lequel je suis, toutes sortes d’idées inquiètes m’engorgent la tête le cerveau.

Ce matin il me sera apparu** comment le blog oblige à  faire des choses qui puissent accrocher « le visiteur de hasard ».*** Que tout y soit sur une seule page, celle de garde, l’index. Chaque note, chaque post devant constituer une petite entité qui puisse être indépendante des autres.

Sans doute m’aura-t-il paru difficile de poursuivre une réflexion – une réflexion qui en passe par l’écriture, elle qui a le pouvoir d’arrêter ce que la pensée ne saurait -, de la mener à  son terme, peut-être lointain, à  coups d’autant de moments de réflexion qui contiennent ou évoquent suffisamment leur propre terme qu’on puisse les séparer de ceux qui les précèdent et des possibles de ceux qui les suivront. Que je ne puisse m’appuyer sur ce que j’aurais déjà  écrit dans la mesure où ça n’aura pas déjà  été lu.****

Si tout doit se trouver sur l’index, c’est que n’est plus attendu que ce qui est daté d’aujourd’hui. Tout, c’est aujourd’hui. Les archives, c’est accessoire. Ca ne fait plaisir, ça ne rassure ou ça n’inquiète que celui qui les nourrit. Est-ce qu’il y a du nouveau ? Et puis, voir ailleurs.

Nous sommes des millions de blogs. Nous disposons des outils de production. Qu’est-ce qu’on en fait ? Est-ce qu’on surproduit, on surconsomme ? Que nous soyons des millions me donne un sentiment de communauté, fût-ce de symptôme. Et je trouve ça bien. On a vu pire qu’écrire. C’est pour ça que je vais voir les autres. Comment est-ce qu’ils s’en sortent. Je les sais les vois différents, mais je m’en fous. On est issu du même moule. à‡a crée des liens. Ces liens mêmes que je suis toujours tentée de rompre, pour travailler totalement en autiste, y échapper.*****

Alors pourquoi passer par les blogs, le blog, moi qui connais si bien l’html et même pire. à€ cause des liens. Les liens et le moule. Le blog, le temps, fait le lien pour moi. Ce qui tente de se saisir dans le blog, la tentation la force l’impulsion, c’est celle de saisir cette matière impalpable de ce qui s’échappe dans le temps, ce qui se perd.****** Comme si, d’y coller, ça le retiendrait. à‡a en dirait quelque chose. Et ça en dit quelque chose. C’est même ça qui ressort, qui en ressort le plus magistralement, le vide de tout ça. C’est ici je crois que peut s’entendre que le blog surmoitise. Ce que je cherche à  formuler depuis que je suis là -dedans. Le croisement du blog et du surmoi. Le surmoi se forme à  partir de la parole, à  partir de ce que la parole ne dit pas. Ce qu’elle lève de lièvre absent. Que la voix, sa chair, trahit et que les mots ne disent. Le surmoi entend ce qui ne se dit pas. Pas seulement parce qu’on a manqué de les dire, mais parce qu’ils n’y sont pas – aurait-on voulu, on n’aurait pas pu. La pensée, quand elle tourne fou comme la mienne, essaie de combler ce vide, de le nier. Le paradoxe c’est qu’à  force de chercher à  produire du sens, d’en produire, elle rejoigne elle retrouve, de l’insensé (cet insensé du manque) qu’elle tente de recouvrir, la jouissance. La pensée recouvre et recouvre. De son grand manteau recouvre et dans son grand manteau retrouve. La jouissance, c’est ce qui a échappé à  la H de l’histoire, qui nage encore dans le liquide amniotique (Jules ne me démentira pas).

Le choix, dont il m’est arrivé de parler ici, c’est le choix fait en connaissance de cause : « pas-tout » passe au dit – je dis « dit » plutôt que « dire », référence à  Â« Qu’on dise s’oublie derrière ce qui s’entend dans ce qui se dit. »; le dit, c’est les signifiés, la signification, le dire, le dire comprend, entend ce qui ne se dit pas. Le choix donc, en matière de blog, pour moi, c’est de renoncer à  un certain « tout dire » qui ne reviendrait jamais qu’à  un amoncellement une accumulation de dits (qui à  l’instar de ma pensée tenteraient de recouvrir le manque du dire). C’est de renoncer à  vivre ma vie comme un livre. Renoncer à  l’établissement de mes « Å’uvres complètes » (petits papiers compris).

Le surmoi tente de faire passer le « dire » au « dit » à  force des « dits » et en se passant du « dire ». Tente d’imposer ça. C’est pour ça que sa force d’impulsion, sa manoeuvre, se fait constante. Devient constante. Est de l’ordre d’une parole qui ne s’arrêterait pas – murmure incessant. Brouhaha insensé.********

J’ai été trop longue. J’en reste là . Même moi je ne me lirais jamais si je devais tomber sur moi sur le net. Et je doute que j’arrive jamais à  me relire. Quelque chose cloche.

Aussi, je vous embrasse.
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$chaine_abc= strtolower($chaine_abc);

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Quand je me réveille, toutes les difficultés afférant* au travail dans lequel je suis, toutes sortes d’idées inquiètes m’engorgent la tête
le cerveau.

Ce matin il me sera apparu** comment le blog oblige à  faire des choses qui puissent accrocher « le visiteur de
hasard Â».*** Que tout y soit sur une seule page, celle de
garde, l’index. Chaque note, chaque post devant constituer une petite entité qui puisse être indépendante des autres.

Sans doute
m’aura-t-il paru difficile de poursuivre une réflexion – une réflexion
qui en passe par l’écriture, elle qui a le pouvoir d’arrêter ce que la
pensée ne saurait -, de la mener à  son terme, peut-être lointain, à 
coups d’autant de moments de réflexion qui contiennent ou évoquent
suffisamment leur propre terme qu’on puisse les séparer de ceux qui les
précèdent et des possibles de ceux qui les suivront. Que je ne puisse
m’appuyer sur ce que j’aurais déjà  écrit dans la mesure où ça n’aura
pas déjà  été lu.****

Si tout doit se trouver sur l’index, c’est que n’est plus
attendu que ce qui est daté d’aujourd’hui. Tout, c’est aujourd’hui. Les
archives, c’est accessoire. Ca ne fait plaisir, ça ne rassure ou ça
n’inquiète que
celui qui les nourrit. Est-ce qu’il y a du nouveau ? Et puis, voir
ailleurs.

Nous sommes des millions de blogs. Nous disposons des outils de
production. Qu’est-ce qu’on en fait ? Est-ce qu’on surproduit, on
surconsomme ? Que nous soyons des millions me
donne un sentiment de communauté,  fût-ce de symptôme. Et je
trouve ça bien. On a vu pire qu’écrire. C’est pour ça que je vais
voir les autres. Comment est-ce qu’ils s’en sortent. Je les sais les
vois différents, mais je m’en fous. On est issu du même moule. à‡a crée
des liens. Ces liens mêmes que je suis toujours tentée de rompre, pour
travailler totalement en autiste, y échapper.*****

Alors pourquoi passer par les blogs, le blog, moi qui connais si bien
l’html et même pire. à€ cause des liens. Les liens et le moule. Le blog,
le temps, fait le lien pour moi.
Ce qui tente de se saisir dans le blog,
la tentation la force l’impulsion, c’est celle de saisir cette matière
impalpable de ce qui s’échappe dans le temps, ce qui se perd.****** Comme si,
d’y coller, ça le retiendrait. à‡a en dirait quelque chose. Et ça en dit
quelque chose. C’est même ça qui ressort, qui en ressort le plus
magistralement, le vide de tout ça. C’est ici je crois que peut
s’entendre que le blog surmoitise. Ce que je cherche à  formuler depuis
que je suis là -dedans. Le croisement du blog et du surmoi. Le surmoi se
forme à  partir de la parole, à  partir de ce que la parole ne dit pas.
Ce qu’elle lève de lièvre absent. Que la voix, sa chair, trahit et que
les mots ne disent. Le surmoi entend ce qui ne se dit pas. Pas
seulement parce qu’on a manqué de les dire, mais parce qu’ils n’y sont
pas â€“ aurait-on voulu, on n’aurait pas pu. La pensée, quand elle
tourne fou comme la mienne, essaie de combler ce vide, de le nier. Le
paradoxe c’est qu’à  force de chercher à  produire du sens, d’en
produire, elle rejoigne elle retrouve, de l’insensé (cet insensé du
manque) qu’elle tente de recouvrir, la jouissance. La pensée recouvre
et recouvre. De son grand manteau recouvre et dans son grand manteau
retrouve. La jouissance, c’est ce qui a échappé à  la H de l’histoire,
qui nage encore dans le liquide amniotique (Jules ne me démentira pas).

Le choix, dont il m’est arrivé de parler ici, c’est le choix
fait en connaissance de cause : « pas-tout Â» passe au dit – je dis
« dit » plutôt que « dire », référence à  Â« Qu’on dise s’oublie derrière
ce qui s’entend dans ce qui se dit. Â»; le dit, c’est les signifiés, la
signification, le dire, le dire comprend, entend ce qui ne se dit pas.
Le choix donc, en matière de blog, pour moi, c’est de renoncer à 

un certain « tout
dire Â» qui ne reviendrait jamais qu’à  un amoncellement une
accumulation de dits (qui à  l’instar de ma pensée tenteraient de
recouvrir le manque du dire). C’est de renoncer à  vivre ma vie comme un
livre.
Renoncer
à  l’établissement de mes « Å’uvres complètes Â» (petits papiers compris).

Le surmoi tente de faire passer le « dire » au « dit Â» à  force des « dits » et en se passant du « dire ». Tente
d’imposer ça. C’est pour ça que sa force d’impulsion, sa manoeuvre, se fait constante.
Devient constante. Est de l’ordre d’une parole qui ne s’arrêterait pas
– murmure incessant. Brouhaha insensé.********

J’ai été trop longue. J’en reste là . Même moi je ne me lirais
jamais si je devais tomber sur moi sur le net. Et je doute que j’arrive
jamais à  me relire. Quelque chose cloche.

Aussi, je vous embrasse.

* Â« afférant » me
vient de ce que je lisais Christian Oster hier soir, qui utilise à l’abord de son histoire d’amour un certain type de langage,
d’ordinaire réservée aux bureaux. Donnant une idée du décalage entre ce que le
narrateur vit et les mots par lesquels il en passe pour le décrire, de
la distance entre ce qu’il vit et le langage même. Et donnant une idée
d’où le narrateur se tient face à  ça, pour supporter ça, cette distance, ce décalage, usant du
langage comme d’une rambarde à  laquelle il peut finalement devenir comique
de s’accrocher et malgré qu’on en soit là  : à  devoir s’accrocher.
L’effet n’en n’est pas
directement comique, d’abord plutôt doucement étrange. à‰trangeté
douce plutôt qu’inquiétante, révélée par l’usage même de ce langage
bureaucratique. On sent quelque chose de l’ordre d’un acquiescement à 
la condition humaine, langagière. Acquiescement qui n’est pas
résignation dépit : il va vers le plus difficile, on dirait « en
marchant sur des œufs », aussi silencieusement que possible, vers
l’amour.

** Qu’il me soit « apparu »…
aussi convenue que soit l’expression, j’aimerais cependant me permettre
de préciser que s’il s’agit bien de quelque chose de l’ordre de l’irruption, oui – ça serait comme une révélation, ça
aurait cette force-là , de conviction, c’est pour ça que c’est pénible,
je ne peux rien faire d’autre que d’y croire, sur le moment – à strictement parler, rien ne m’apparaît, c’est le noir, j’entends : je m’entends me dire. Et l’usage, auquel je me vois obligée de recourir, du futur antérieur, ce drôle de temps de l’incertitude, d’après la mort, qui anticipe ce moment où il ne restera que des mots, « Words, words, words… » vient de que dès que je me lève, la certitude de mon angoisse se dissipe. Le doute prend.

*** Je pense ici au texte de Marcel Broodthaers qu’on peut lire sur l’index de 2balles : « Je voudrais rompre cette solitude, mais ça ne marche pas, car il n’y a
pas foule ici. Et il m’est difficile de donner au pied levé une réponse
théorique à  votre question sur le visiteur. Disons ceci:
je suis toujours
heureux de voir arriver ici des amis ou des visiteurs que je connais, car
il naît toujours un contact direct. Mais j’aime aussi le visiteur de
hasard, bien qu’il viennne le plus souvent sur le conseil d’un ami ou d’une
connaissance. Mon rapport au visiteur est un rapport personnel, mais je me
demande si ce n’est pas grâce à  ces contacts personnels que ce Musée peut
continuer à  exister, grâce à  la bonne volonté des visiteurs qui acceptent
tout simplement ma fiction. Et ce qui m’inquiète, c’est la réaction
possible de quelqu’un qui se trouve entièrement en dehors de ce réseau
personnel. »

**** Or, c’est aussi ce que je cherchais au départ : « en finir (avec les faux impossibles) Â». Apprendre à  finir. A quoi, le blog, et son visiteur éclair, obligent.

***** à‡a a été un soulagement,
un coup de panique d’abord puis un soulagement, que de me dire que
vraiment ça n’avait pas d’importance qui venait sur mon site, combien ils venaient
(les logs, les stat.), et de me débarrasser de l’outil qui me
permettait de le savoir.

******* « Si le signifiant est ainsi un creux, c’est en tant qu’il
témoigne d’une présence passée. Inversement, dans ce qui est
signifiant, dans le signifiant pleinement développé qu’est la parole,
il y a toujours un passage, c’est-à -dire quelque chose qui est au-delà 
de chacun des éléments qui sont articulés, et qui sont de leur nature
fugaces, évanouissants. C’est ce passage de l’un à  l’autre qui
constitue l’essentiel de ce que nous appelons la chaîne signifiante.

Ce passage en tant qu’évanescent, c’est cela même qui se fait
voix – je ne dis même pas articulation signifiante, car il se peut que
l’articulation reste énigmatique, mais ce qui soutient le passage est
voix. C’est aussi à  ce niveau qu’émerge ce qui répond à  ce que nous
avons d’abord désigné du signifiant comme témoignant d’une présence
passée. Inversement dans un passage qui est actuel, il se manifeste
quelque chose qui l’approfondit, qui est au-delà , et qui en fait une
voix.

Ce que nous retrouvons là  encore, c’est que, s’il y a un texte, si le
signifiant s’inscrit parmi d’autres signifiants, ce qui reste après
effacement, c’est la place où l’on a effacé, et c’est cette place aussi
qui soutient la transmission. La transmission est là  quelque chose
d’essentiel, puisque c’est grâce à  elle que ce qui se succède dans le
passage prend consistance de voix. Â»

Jacques Lacan, Le séminaire, Livre V, Les formations de l’inconscient (1956-1957), p. 343.

******* Oster, qui a du talent,
en usant du langage du moule le plus convenu, le plus éloigné de ce qui
le travaille, parvient, dans le sourire, à  franchir l’écart, à  faire
franchir l’écart, celui du dit au dire, à  faire entendre sa voix.

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