19 novembre 2005

ding (une pensée de fer)

et d’ailleurs ne dit-on pas une santé de ferC’est drôle, pour MIR je suis HAMLET hamlet tobeor etcaetera dessus ça me tombe comme un ver
dict (enten dez in ter prétation) je me dis quoi ça se voit si peu que ça que je suis une

je le crois je me dis alors relire lacan sur hamlet pour le reste ça va – quoi est-ce que lacan dit d’hamlet qu’il est obsessionnel je ne autre chose – mais oui c’est moi qui le dit, c’est moi qui l’ait dit – j’a
vais pensé
j’avais bien pensé expliquer m’expliquer, ce nom, to be or,
or ça, je n’aurai rien fait d’autre que ça, jusqu’à  présent,
que de
m’expliquer justifier n’aurai
rien pu faire d’autre que d’é
taler mon symptôme au grand

bah

(hamlet alors armure alors de fer avéré – casque) les titres j’y arrive pas je me force m’y force les noms to be or nom d’une aliénation j’ai pensé que ça irait de soi que le blog viendrait à  la place du mot des mots qui manque qui manquent et que ce mot ces mots pourrait pourraient ( ) n’importe lequel , lesquels – justification – to be or : WHATEVER
de sus, pour moi to be or j’étais si sûre que c’était je pense donc
(dont j’ai cru entendu qu’il ne serait que du non-écrit je suis question)

alors attendre
que ça se termine
se termine
ce to be or
que ça se meure de sa belle
puisque
quand c’est raté
c’est réussi (belle jambe)

Publié dans ... et société, to be or |