Dans la rubrique « réveiller les assemblées générales », soyons en effet pragmatiques en séparant nos AG de l’ECF des Journées d’études, comme le propose Marie-Hélène.
Nous avions déjà choisi de faire exister à côté des AG des Séminaires de réflexions, préparés sur ECF Débats. Ces séminaires, soigneusement organisés en 2006 et 2007, se voulaient des espaces de réflexion et de préparation des décisions dégagés des pesanteurs inévitables de l’administration de l’association. Le Conseil sortant a préféré ne pas les maintenir. Il ne s’agit pas d’être nostalgique mais de regarder l’avenir !
Des AG printanières, en avril ou en mai permettraient de retrouver de la dynamique. Ce ne serait pas du seulement à la montée de sève, mais aussi au fait que les choses discutées et votées ne seraient plus si loin, puisque l’AG traite surtout de ce qui a eut lieu l’année passée. Les rectifications, les réorientations prendraient leur sens si elles avaient lieu avant juin pour l’année en cours. En octobre il est déjà trop tard, on perd presque une année !
Cela supposerait donc d’organiser une journée entière consacrée à la vie de l’Ecole au printemps. Une matinée de discussion préparée et argumentée un mois avant sur les listes, et une AG qui décide à la suite. La matinée pourrait être ouverte au-delà des membres à des personnes intéressées à l’avenir de l’Ecole et à celui du discours analytique. Rien n’empêche le Conseil élu de nous organiser une soirée agalmatique surprise la veille au soir de cette journée qui participe elle aussi du réveil.
Pour les Journées d’études, une soirée libre le samedi à l’automne permettrait de donner de la souplesse à l’animation et à l’organisation des journées qui doivent coller maintenant à l’exception et non à la routine. Cette soirée inédite pourrait être l’occasion, d’un spectacle, d’une rencontre de l’Ecole avec sportifs, artistes, scientifiques, voire plus simplement d’un moment convivial ou d’une Twitter party ? Là encore elle serait ouverte au plus grand nombre.