Merci à toi, Véronique, et à Géraldine, pour les « Éclats » de ces trois pièces « Des femmes » que vous nous renvoyez à distance.
L’ Éclat d’Antigone , il me semble que c’est le mot que Lacan lui avait consacré dans son Séminaire L’éthique ((Jacques Lacan. L’éthique de la psychanalyse. 1959-1960. Le Séminaire. Livre VII, Paris, Seuil (Le champ freudien), 1986; part. «L’éclat d’Antigone» (1960))), au-delà du bon, du bien, du beau, et même du vrai!
Décidément, la position féminine défend et révèle à chaque fois, pour chacune, quelque chose qui échappe aux dictats et aux mœurs du moment, et qui en même temps pointe quelque chose d’indicible, du coté de l’amour? ou de l’humanité? en tout cas quelque chose d’important!
Et qui n’est pas fiction, puisque c’est une par une.
J’espère que vous nous en direz encore plus, Encore?
Bien à vous tous
Catherine Decaudin