Francis Bérezné et moi

Le 30/11/2011 10:55, véronique müller a écrit :

superbe artiste que je découvre, dominique, merci. oui oui finissons-en avec l’art brut, c’est un préalable nécessaire, en effet, finissons-en, ça suffit comme ça !

Le 30/11/2011 10:59, véronique müller a écrit :

enfin, heu, Raynaud / Palanc : il va fort ! sa gymnastique mentale, moi, j’ai un peu du mal à la refaire… (ça résiste dans les synapses)
😉

Le 30/11/2011 17:28, Dominique Chauvin a écrit :

> Je ne connais pas Palanc…
> Francis Bérezné s’explique sur son rapprochement hardi entre Raynaud et Palanc : « Il s’agit de comparer des choses a priori incomparables et d’en tirer quelque idée nouvelle sur un sujet. » (Le dit du brut, p. 29)
> « Au sujet des origines » [puisque, pour lui, il s’agit de ça], il trouve Palanc « bien bavard ».
> « Et au petit matin frais, en attendant que s’ouvrent les portes du Centre Georges Pompidou, voir le pot de Raynaud recouvert de ses feuilles d’or, et être touché précisément par le fait de n’y comprendre rien, un truc tout à fait propre à Raynaud, comme un idiotisme, et que ce soit Palanc qui déclenche le délire associatif qui éclaire le problème d’un jour nouveau, nous offre le début d’une solution, voilà évidemment qui donne à réfléchir.
> Regarder les travaux de Raynaud à la lumière de ceux de Palanc, est-ce en apprendre un peu plus sur cette œuvre, ou est-ce une folie ? (p. 31).
> NB. Je trouve le pot de Raynaud beaucoup plus beau dans son nouvel environnement, ou encore dans le jardin de sa maison (d’après les photos de Daphné), que sur le parvis de Beaubourg.
> Bravo encore, Véronique, pour ton travail d’édition, les liens que tu as été chercher, etc. Je suis touchée pour Francis. Merci.
> Dominique.

Le 30/11/2011 17:57, Dominique Chauvin a écrit :


Une photo récente… 
> Dominique.

 

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