les inconscients hantés d’héroïnes grecques

Bonsoir Véronique O, 

Quel beau texte, merci Véronique, c’est un témoignage fidèle de ce que nous avons vu sur scène ce dimanche, pour notre plus grande joie! Un spectacle inoubliable et un hommage moderne et vivant en tryptique à ces figures de femmes tragiques; une épouse fidèle délaissée au désespoir funeste; une sœur et fille sacrifiée par devoir de piété; une fille et soeur égarée par la vengeance de la mort du père, dans le regard d’une mère ravage, qui, comme tant d’héroïnes de tragédies grecques ont tellement marqué notre culture, au point de hanter encore souvent nos inconscients…

Et le choeur de B. Cantat, quelle émotion, quel passeur du tragique devenu, tant dans sa composition musicale que dans sa voix…bouleversant.

Merci infiniment à toi Véronique de nous avoir, en nous faisant découvrir pour certains Wadji Mouawad, entrainés dans cette formidable expérience théâtrale de la représentation intégrale de plus de six heures, incontournable, je crois, pour vraiment entrer dans ce monde  Des Femmes, intemporel, onirique et étrange, qui pour ma part me laissera un souvenir ému et enchanté.

Je t’embrasse.

Géraldine.

 

Ps: Tu vois Vé ton appel n’est pas resté sans écho! Bises! 

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