le bon chinois ( + pointes de B. Abbott)

Merci cher José Rambeau, ton article m’a très fort intéressée et un peu fait frémir.  je n’ai pas pu venir écouter les tambours, mais irai voir Ai Weiwei, avec ce que tu as dit, comme rappel d’ humanité.

Catherine

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Ai Weiwei, c’est bien. Mais Berenice Abbott, c’est NEW YORK !

D

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Eh eh, je crois que Ai Weiwei malgré tous les efforts qu’il fait en ce sens ne pourra – effectivement – jamais être américain.

Reste t’il chinois ? En tous cas,  urbi et orbi il est adoubé comme notre « bon » chinois, ce qui revient à dire qu’il peut être aussi bien un « bon » occidental, avec son petit côté exotique  qu’on retrouve de par le monde dans chaque Hilton hôtel. L’art contemporain (ou dois je dire « l’industrie du luxe » ?) aime la couleur locale, les produits du terroir, du moment qu’ils aient vocation à s’industrialiser ou se décliner en accessoires un peu moins cher mais bénéficiant de la marque (l’aura ?)

La détestation pour la Chine actuellement n’a d’égal que la détestation pour la Russie.

Ai Weiwei est utilisé comme une arme de cette détestation, du coup je n’ai pas d’opinion sur son art, il est partout, du coup je ne veux plus le voir

 Vôtre,

Guy.

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