Bonjour
Merci, Alain, voilà une remarque qui me réconcilie ou me rassure (je n’ai pas décidé) sur la nature, voire la finalité, de ces recherches et qui rejoint ma propre pensée.
Je me faisais cette réflexion (à moi-même et véronique, n’ayant pas eu le temps de l’articuler pour d’autres) à propos des interprétations du film japonais que je n’ai pas encore vu: dans quelle mesure le prisme lacanien (occidentalo-bourgeois, donc, ah ah, n’y voyez pas insulte) est il applicable à ce film ? n’est ce pas une forme d’ethno-centrisme ? c’est une question car je n’en ai pas la réponse
je précise que je ne crois ni à l’universel ni à aucune valeur qui en découle comme « la beauté », par exemple, ou « l’oedipe », ou « les droits de l’homme », le social est bien plus disparate que ça sans toutefois être atomisé dans le singulier
Votre,
Guy.