Content d’avoir (après hésitationS) vu ce film: j’en garderai un souvenir moins périssable grâce à ce face à face enlevé d’impressions contrastées. Et ta critique me met de bonne humeur pour le reste de la journée... si un jour j’avais imaginé que grâce à un film de Carax je sois de bonne humeur, je me serais quand même inquiété…
Bonne journée in Paris by day!
malik
PS. « cela dit, il en a bavé »: et nous aussi!!! 😉
En passant
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j’ai beaucoup apprécié ce qui s’est dit ici autour de lire/écrire (cette lettre/symptôme qui ne se lit qu’à condition de l’écrire).
dans une lecture de soi ou de l’autre ? me demandais-tu Brigitte.
rapidement je répondrais, qu’une certaine dimension du « se faire », « se faire » lire, « se faire » écrire, implique d’avoir à en passer par l’Autre, offrant donc à l’objet, la lettre – hors-sens – de circuler ( fût-ce sous des atours qui ne soient pas les siens…) aussi, probablement, une lecture attentive implique-t-elle de reprendre dans sa langue la langue de l’autre – même si l’acte analytique entend justement rompre avec ces « sympathies de langue » pour isoler plus proprement, chirurgicalement, un objet ou une lettre dont la nature est d’être absolument étrange, sans Autre.) (autrefois je pensais l’objet a comme un diamant à multiples facettes et la rencontre amoureuse, l’énamoration, comme à un moment où deux facettes de deux objets se rencontraient qui se croyaient « mêmes », quand il ne s’agit que d’une facette… évidemment, suffit-il que l’objet bouge un peu ou qu’une autre facette vienne à être mise en lumière et les difficultés peuvent commencer…)
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et il y a ceux qui se regardent écrire…
Lire/écrire 7
Oui, je suis d’accord avec toi, Alain et j’y travaille d’ailleurs ces temps-ci, pour le Forum sur l’autisme à Metz, sous le titre un peu aventureux que j’ai choisi de « L’autisme du symptôme »; ….peut-être pour que cela cesse de ne pas s’écrire, c’est à dire pour essayer d’en écrire quelque chose. Même quelque chose de furtif!
Lire/écrire 6
« Écrire pour lire« …
les deux Inséparables.. comme un envers, un enchevêtrement infini de l’écrire et du lire, bande de Möbius face à l’éternel.
Lire-écrire (pour ma part), Art-Psychanalyse, mais y a t-il coupure entre les deux ?
Ça ouvre aussi pour moi sur une équivoque : Écris-tu, Vé, pour « te » lire, comme dirait l’autre, allant vers un « lis tes ratures » ou/et pour « mieux lire les autres », « autres » au sens large …?
Brigitte
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Mais il y a aussi ce qui ne manque pas, le Yad’l’Un, n’est-ce pas lui l’agent? La lettre qu’on subit, qui s’écrit? Qu’en penses-tu, Cathy?
Lire/écrire 4
Hello!
« écrire pour mieux lire », peindre pour mieux voir, sculpter pour mieux sentir, enseigner pour mieux apprendre. Analyser pour mieux analyser….On ne produit que de ce qui nous manque! Et cela fait parfois des artistes.