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désir de pensée (à n’importe quoi)

peut-être l’envie d’écrire me passe-t-elle de ce que le désir de pensée est plus grand.

si j’en crois ce qui me réveille la nuit, je ne fais pas vraiment la différence entre écrire et n’importe quoi d’autre. ce qui me réveille, je l’ai déjà dit, je l’ai déjà dit, c’est la pensée du travail, de penser au travail, n’importe lequel, et puis aussi, la colère, la rancoeur.

alors désir, désir. eh quoi ou. pulsion?
la pulsion ça serait quand n’importe quoi est concerné;
penser à n’importe quoi,
à n’importe quel travail – donc pas tout à fait n’importe quoi.

[ rejoindre le n’importe quoi de la pulsion, se mettre d’accord avec elle; ou croire, continuer de croire, parier en une éventuelle particularité du désir.]

31 janvier 2006 - 9:19 / le n'importe quoi /