de duve encore. Je ne me souviens plus bien.
que dans l’Å“uvre d’art contemporain il s’agisse plutôt d’une présentation de l’objet – plutôt que de l’Å“uvre d’art comme lieu d’une énonciation, « ouverture, fenêtre » sur le monde, déploiement de l’istoria pointant à son horizon un sujet
serions passés d’un savoir dans le fantasme au « savoir » de la pulsion, à l’in-dit).
s’agirait d’1 montrer, alors, ce qui au cadre du discours échappe (je me souviens mal, je me souviens mal)
et lui, thierry de duve, module modère le n’importe quoi, décrit ce n’importe quoi des artistes comme modulé modéré à la condition d’une certaine connaissance / reconnaissance, d’un faire montre – index pointé sur – un certain objet / objet certain – lequel, quoiqu’on en ait, aurait ce pouvoir de limiter / orienter la pulsion. cet objet est celui qui échappe à l’égalisation, la démocratisation des valeurs.
devant la télévision pas beaucoup de cet objet fait entendre sa voix. (sinon, de ce qu’il en est de lui comme rien qui vaille // sinon, de ce qu’il en est de lui quand, captif de la pulsion, il fait valoir son rien qui vaille //
sinon, de ce qu’il en est de lui quand, captif de la pulsion, il fait valoir sa tendance, à elle, à éviter de se confronter à la castration c’est-à -dire à la loi c’est-à -dire au désir – la castration la loi le désir étant : il y a du manque à dire ce qui se joue entre les sexes, manque qui se révèle du moment qu’un dire s’essaye. manque qui se dissout tant que le silence est tenu – mieux vaut dire : le mutisme – et l’on pourrait, dans ce contexte, dire : ce n’est pas que le pulsion soit silencieuse, c’est qu’elle est mutique. (elle qui omet d’épingler le vide, de l’objet le vide, de l’étiquette de sa particularité – son nom propre, qui préfère le donner comme absolument quelconque, relatif, identique pour masquer ce qu’il comporte d’effroyable. comporterait d’effroyable. enfin, il faut bien que ça le soit, effroyable, puisqu’à ce point il faut l’éviter. )) (le mutisme est du sujet, le silence, de l’objet. c’est pq l’on dit que la pulsion est silencieuse.)
la pulsion est cela qui relativise. la pulsion est jouissance de l’affinité du réel et du signifiant. leurs accointances. « S barré poinçon grand D » écrit d’abord Lacan parlant d’elle. sujet barré poinçonné à la demande. la demande c’est le signifiant. il n’y aurait pas eu jouissance de la pulsion s’il n’y avait eu le signifiant. la jouissance de la pulsion est celle de ce qui récupère après la perte de la jouissance initiale, après la perte de la Chose. c’est le plus-de-jouir. la pulsion se satisfait du plus-de-jouir, se passe de la perte. il y a plus-de-jouir tant tant qu’existe la potentialité, la possibilité du dire. (ainsi, la pensée procède-t-elle du plus-de-jouir dans la mesure où elle procède de la possibilité du dire.) le dire sort de la potentialité et rentre dans l’impossibilité. lacan dit : faire entendre qu’il s’agit d’un impossible et non pas d’impuissance. il dit ça à un moment, je ne sais plus où. (et il ne s’agit pas non plus de ramener l’interdit, ajoute-t-il, il s’agit de trouver son chemin pour aller vers, à la rencontre de l’impossible.) le dire est un faire. qui se fait dans l’écriture, qui se fait dans l’art, qui se fait sur le divan, qui se fait dans la vie.
le faire est impossible (ce qui à duchamp fait parler, et il faudra que je revienne là dessus, de « l’impossibilité du fer ».
lacan : il n’est d’éthique que du bien-dire. un dire qui vise en même temps qu’il touche à l’impossible. (un compte-rendu de jouissance, un moment, une passe).
Dans la pulsion, le sujet poinçonné à l’universalité, faisant corps avec elle.
Dans le fantasme, le sujet poinçonné à la particularité faisant corps avec elle.