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tristesse

(chlorhexidine, 10 minutes, 3 x par jour, le doigt, le majeur, trempé dans de la chlorhexidine. il n’y en n’a presque plus, va falloir passer à la pharmacie.)

mais qu’est-ce qui m’arrive?

et s’agit-il d’un destin, ça? que l’on fasse face à un travail qui vous dépasse? qui soit devenu impossible? un travail qui ne devrait être rien d’autre qu’alimentaire, qui n’est rien d’autre qu’alimentaire. alors quoi, c’est ça, le destin à égaler? le festin à régaler. un destin alimentaire, un travail qui n’aurait rien dû occuper de plus que vos heures creuses pour vous prendre jours nuits sommeils pensées.

alors quoi mon fils tu vois tu le crois ça tu le crois ça toi qui à l’instant gaillardement chevauche l’aspirateur peut-être que toi

« vouloir ce qui vous arrive » : que je sois face à travail que probablement je n’arriverai pas à faire. et alors, je ferai quoi?

26 juin 2006 - 10:11 / disparates /