c’est ça, le poids
léger,
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disparates
prétentionj’écrirai d’abord
tout ce que je ne sais
pas, voilà . et ça
sera terrible
parce que
c’est ça, le poids et, au lieu d’être
léger, ça sera lourd-
4 avril 2006 - 14:14 / disparates / en m ê m e tem pset puis , en même temps,
on ne voudrait pas cesser de ne plus savoir,
on ne voudrait pas cesser d’oublier
4 avril 2006 - 22:00 / disparates / d’un travailleur à un autre(ça rêve chez moi parfois ou quelque part d’une vie bien ordonnée
si des horaires clairs et bien marqués m’aideraient à ce qui dans ma tête parfois prend des allures de qui m’offrent cependant l’avantage de m’abriter de ce que personne ne me demande, d’autre que moi – ce serait ça, la faute. cet abri que je prends de moi-même. et alors que, faut-il le dire, je me suis si bien arrangée pour n’avoir justement à suivre d’autres horaires que les miens – et ça n’est pas toujours facile. si je me suis trop plainte, pardonnez-moi. 6 avril 2006 - 10:01 / disparates / le problème et le temps« Tout problème en un certain sens en est un d’emploi du temps. » 7 avril 2006 - 12:20 / copie/colle, disparates / gaucheje ne pensais pas qu’il m’arriverait d’avoir à me dire de gauche j’ y suis amenée à force de tomber sur des blogs dont la teneur matière manière quand je suis moins fragile qu’en ce moment : je me dis : c’est du vent. je me dis c’est la canaille. et pour la rime j’ajoute : la racaille. connerie, racaille – voilà , ça dégage. je ne les attaque pas de front, ces blogs – je ne les citerai pas ici et me garde d’intervenir dans leurs commentaires où je ne ferais rien de plus qu’entretenir le moulin de leur arrogance – , je me méfie trop de la facilité des joutes écrites qui fait l’une des premières matières de la mer web, à force d’y voguer dans l’imaginaire. qu’est-ce qui me les dit de droite : c’est qu’il opinent de tous leurs mots – ce verbe qu’ils portent aussi haut que probablement leur queue est basse enfoncée seulement dans des corps achetés – au capital et que la pauvreté les débectent. ils sont dégoûtés et dégoûtants. et ne trouvent à se défendre des actuels mouvements sociaux qu’en disant : c’est la gauche. et de chercher à la ridiculiser disant d’elle qu’elle est le fait des socialistes. c’est bas, il faut bien le dire, c’est leur lot. il y a des choses dont on aimerait qu’elles aillent de soi. la gauche. c’est ce qui dit non au capital. c’est ce qui dit non au capitalisme, à l’hégémonie de l’économie. ce qui dit non et qui s’y oppose. alors pourquoi est-ce que je suis si triste. je suis triste de honte. de honte pour eux. de honte de ce que je reconnais en eux. une affaire de style, d’écriture. une affaire de culture. de celle dont on voudrait se délester. ne plus rien savoir. je voudrais devenir faible rester pauvre bégayer. sourire. je voudrais ensuite devenir forte de ce que je veux. et que ça ne soit rien qui nourrisse d’autre commerce que celui des hommes. des hommes et des femmes. que ça soit impayable. et que ça le reste. pour les siècles des siècles. et qu’on puisse en rire. 10 avril 2006 - 11:43 / disparates / voguer dites-vous – l’imaginaire
« D’où la phrase de Primo Lévi, qui éclaire après-coup le triomphe terminal chez lui de la culpabilité et de la mort : ‘ Chaque homme est le Caïn de son frère.’ 10 avril 2006 - 12:34 / disparates / avertissement (dans le noir)je pense qu’au frontispice de ce blog, on pourrait écrire : « il n’y a pas de rapport sexuel ». comme ça, les gens sauraient, qu’une fois passé ça, une fois rentrés dans le blog, ils seraient là -dedans, dans la douleur de ça. ou déjà plus la douleur. dans ce qui se soupçonne d’elle. elle ne serait pas connue pure. dans le doute d’elle déjà . dans ce qui s’essaie d’écrire, à écrire ça. les restes d’elle. ces restes qui ont les humeurs nombreuses. 10 avril 2006 - 13:17 / disparates / opinions à foisonla sympathie, l’antipathie que l’on éprouve à la lecture de certains blogs . on se rend compte qu’elle tient bien moins à la teneur de ce qui s’y trouve , des opinions qui s’y expriment, qu’à leur façon, leur style. (les opinions, elles, foisonnent.) 11 avril 2006 - 9:48 / disparates / l’abondance du machinique et le peu de la main
traiter l’abondance/ laisser le choix au hasard / vous n’y croyez pas; je l’espère. je veux dire j’espère le hasard, sa possibilité. (la possibilité de ce qui viendrait faire rupture. ici quelque chose de difficile à développer. ) ne peux qu’y aller au hasard les yeux fermés BLIND un objet prendre convient-il à l’instant oui OKAY !
* exemple: l’abondance de photos que vous auriez prises, que faire, face à cette abondance, qu’en faire? le hasard, au hasard, s’arrêter à ce qui vous arrête 13 avril 2006 - 12:11 / disparates / notes perdues, opinion en forme d’évaporationla haine de soi, y tomber / selfhaters / les notes perdues / je pense : nous serions responsables de nos pensées / la grande majorité de mes pensées ne passent pas à la parole / sont des paroles larvées / je ne sais faire autrement que de nous chercher des reponsabilités / mettons : les huit dixièmes de mes pensées ne passent pas à la parole / non / mettons quatre-vingt-dix-neuf pourcent de mes pensées ne passent pas à la parole / quatre-vingt-dix / en vérité, je vis dans mes pensées / en vérité, mes pensées sont tout ce qui me sépare de vous, de tous, de vous tous // nous somme d’accord pour dire que le temps ne fait pas que passer malgré que ce soit sa caractéristique première , sa matière , son réel / les pensées y collent / comme les blogs / les blogs collent aux temps / s’y allongent // l’opinion serait un moment / autant d’opinions exprimées que de solitudes qui tentent d’extraire un bras du marécage de leur corps / oui oui moi, aussi, je trouve qu’à tort et à travers nous avons parlé des corps et que maintenant cela suffit, qu’il a eu bon dos, le corps, maintenant, il le fait rond, le dos, il le fait boule, laisse et tais-toi – je parle ici de faits culturels – ces mots 1 temps à la mode, le corps, 1 temps signifiant-maître, maintenant, c’est bon, assez vidé de sa substance, finissons-en, lâchons, lui les baskets. d’abord le corps est une pierre dont nous sommes séparés. / we, the selfhaters / notes perdues / la haine de soi // exprimée l’opinion devient douloureuse / exprimée l’opinion devient douloureuse / la tristesse reviendra ensuite, du vide d’où elle s’est répandue / c’est une chose étrange 17 avril 2006 - 13:05 / disparates / opinion-double, culture (I)je n’avais pas ce matin le courage de me remettre au boulot / alors plutôt j’ai nettoyé sans cesse jusqu’à maintenant / hier, j’ai reçu un très beau bureau / si je dis « reçu », c’est que je ne me le serais jamais acheté / il le faut, ça, que je reçoive / il sera payé avec l’argent que je gagne à (trop) travailler / remarquez, de sans gain (caractère) je passe au gai gain / oh le sourire quand je l’ai découvert, comment j’ai été contente / exactement ce dont, je n’aurais pas osé rêver / et comme il est grand / joli / astucieux, avec tous ses petits tiroirs, ses pochettes / TOI / tu n’aimes pas arte tu ne lis pas les textes d’explication dans les musées moi non plus ton père dit que tu fais des petits mickeys il le dit de ta fille aussi. ton Å“uvre, tes vignettes, ont été sélectionnées à ce festival et ton blog est de ROCK / TOI / nous n’avons pas toi et moi les mêmes définitions de la culture / je pense le plus souvent à celle qui fait dire, par exemple, d’un tel : « il a une immense culture », et qui me fait penser que cette culture-là , je ne l’aurai jamais, cette culture qui ne me manque plus* // manque de culture à partager // cependant que restent ceux qui n’en manquent pas / je pense à arasse, daniel, que j’entendais l’autre jour à la radio, comment je l’aime / dont le mode de savoir, comme on dirait mode de jouissance, ne sera simplement jamais le mien / / et je cherche ici où nous nous rejoignons toi et moi par rapport à cette culture, au sens où je l’entends, un sens assez restreint** / le sentiment de ce qu’elle a d’opprimant / non? – qui me fait repenser à cette phrase : « quand j’entends le mot Kultur je sors mon revolver » / opprimante en tant que ceux-là qui la possèdent, la possèdent au titre même qu’ils appartiennent à la classe dominante / et je me souviens de ce qu’il me semble a pu dire jacques-alain miller : que le discours est avant tout un instrument de pouvoir, de puissance / bon, retrouver la référence*** / maintenant, jules pleure. * culture dont le manque ne me peine plus, que je cherche à mettre en lumière, dont je voudrais faire la promotion ** il m’est arrivé de la définir plus largement, comme prenant son départ du moindre fait de discours – à la base. *** pas retrouvée aussi vite que je ne l’espérais, la référence, citation exacte. pensais que ça se trouverait dans numéro de la Cause freudienne sur l’Angoisse, mais. 18 avril 2006 - 18:38 / disparates, fred, préliminaires / de particulier à particulier19 avril 2006 - 15:30 / disparates / opinion-double, culture (II) (nos oignons)/ j’ai encore parlé de moi / TOI, je voulais dire / TU / il me semble que ce que j’essaie de pointer ici, l’opprimant du discours, tu le rejettes en bloc / pour toi, il n’y a pas daniel arasse / je ne suis pas sûre qu’il y ait quiconque qui ait un nom, un nom connu, de ceux qui appartiennent à la culture, la culture classique, dominante. daniel arasse, ça ne fonctionne pas pour toi. là où moi j’ai mal supporté qu’on me dise de lui qu’il était un maître, pour toi, tout de suite, il ne saurait être rien d’autre. alors tu ne supportes pas. tu rejettes en bloc /oui, bon, arasse autre chose / arasse ou un autre / enfin / bon, d’accord / d’accord, ce que tu ne supportes pas, d’abord, c’est ce dont il parle, arasse / la Renaissance, par exemple / oui, oui, je sais, tu n’a rien contre daniel arasse / mais c’est simplement parce que moi j’aime daniel arasse et que tu m’aimes / sinon, il n’existerait pas / parce que pour toi la culture, ça commence à qq chose que tu apparentes, je crois à la “sous-cultureâ€, à moins que ce ne soit à la “contre-cultureâ€, à l’underground, tandis que pour moi, c’est plus classique, la culture. / tu vois. je trouve que nous avons des perceptions, des aperceptions semblables, mais des réactions et des raisons très différentes. ça n’a pas fait idéal, pour toi. à aucun moment. jamais. moi, je dois me battre contre ça. contre le fait qu’une certaine culture, un certain savoir, a fait idéal pour moi. et que cet idéal même l’ait maintenu hors de portée, toujours du fait de l’autre, toujours du fait du maître et que ce maître j’ai pu le désirer (cherche un maître qu’elle puisse dominer et fasse en sorte que le savoir reste dans l’Autre). alors que chez toi, pour toi, ce fait du maître, ça a été insupportable. dès le départ. il doit y avoir moyen de le dire plus simplement. plus logiquement. mais je débroussaille. tu serais fondamentalement beaucoup plus anarchiste que moi. or, nos attitudes, à l’un et à l’autre, nous tiennent à une certaine distance de toute une série de choses dont je tiens cependant à ce que nous puissions les donner à notre enfant. parce que tout n’est pas à rejeter dans la culture, tout n’est pas à rejeter qui appartient au canon, à l’establishment. / et qu’à force de ne pas vouloir nous en laisser conter – ton “scepticismeâ€, mon hystérie, l’ambiance du moment – , nous n’ayons plus rien à nous conter nous-mêmes / du lien de la culture et de la parole / etc. 19 avril 2006 - 15:30 / disparates, fred, préliminaires / djamel tatahExposition personnelle – Galerie Kamel Mennour djamel tatah non, je ne connais pas . c’est lui auquel se référait hier brice cauvin non je ne connais pas sur france culture qui parlait de son film, « de particulier à particulier », en disait que pour les décors avait choisi de s’inspirer des couleurs de djamel tatah . 20 avril 2006 - 12:14 / disparates / the things we write, like the walls in the streets we pass by, like the walls we pass through, silent 30 avril 2006 - 12:30 / disparates / in the morning (chirac et l’addiction)/ j’aurai commencé la journée avec des harengs sauce moutarde de chez Ikéa / j’aurai également commencé la journée avec une douche prise / j’aurai commencé la journée comme une vraie travailleuse / aujourd’hui, c’est 5 heures que je dois faire. j’ai dimanche fait mon planning du mois, c’est presque enthousiasmant : si ça marchait / je n’ai pas casé, nulle part, l’écriture. travail, uniquement travail, 5 heures par jour, week end non-compris. hier encore une fois, j’ai regardé la télévision. qu’on veuille tenir cet aveu pour un mea culpa. il y a eu alexandre le bienheureux, dont j’avais gardé un souvenir d’enfance assez joyeux qui a été déçu – légèrement : on voit quelques minutes du film et du haut de toute son expérience, on sait à quoi on a affaire, on n’est pas libre de continuer à regarder ou pas maintenant, je dois travailler. (en vérité, je n’ai que 4 heures à faire, parce que hier, j’en ai fait 6, 6h 14, plus précisément). 2 mai 2006 - 8:22 / disparates / on the radioParis
Radio France. France culture. Programme:LES CHEMINS DE LA CONNAISSANCE.
Les cinq psychanalyses de Freud.Par Jacques .Munier. Longtemps considérées comme
un véritable manuel pratique par les psychanalystes, les cinq psychanalyses de Sigmund
Freud constituent un répertoire unique de cas célèbres : Dora, le petit Hans, l'homme
aux rats, l'homme aux loups et le Président Schreber. Psychanalystes, les invités de
cette série reviennent tour à tour sur chacune d'entre elles pour en faire une lecture
critique, chaque matin, du lundi premier mai au vendredi cinq mai, de 11h 30 Ã 12h.
Réalisation : Céline Ters
Lundi 1er mai : Le cas Dora (invité Marie-Hélène Brousse)
Mardi 2 mai : Le petit Hans (invité Eric Laurent)
Mercredi 3 mai : L'homme aux rats (invité Philippe La Sagna)
Jeudi 4 mai : Le président Schreber (invité Paul-Laurent Assoun)
Vendredi 5 mai : L'homme aux loups (invité Roland Gori). (From ecf-debats)
(zut, raté m-h brousse, zut raté é. laurent, ah, mais restent les archives) 2 mai 2006 - 11:02 / disparates / chanceje suis payée pour lire :
2 mai 2006 - 11:17 / disparates / / hello hello / ( je travaille beaucoup plus que 5 heures par jour/ après, je m’écroule /) ça n’est pas sans effet d’écrire dans un blog, au moins pour soi : or ça, il faut que j’ajoute également : mon corps. il y a eu ce moment où je n’ai plus voulu pour lui – où ça s’est insinué en moi (m’a pris corps) -, qu’il passe des heures devant un écran. et je cherche en ce moment, le moyen, ma façon, qui me permette de travailler autrement. je parle de ce travail que je fais pour moi, comme on dit – les trucs que j’essaie ici. je voudrais / chercherais / qu’il se construise ailleurs que dans du virtuel – c’est peut-être juste une question d’état d’esprit, à modifier. oui, c’est important, ça, ce refus qui s’est fait, en moi. un désir de concrétion. comme si l’écran n’y suffisait pas. non pas comme si : parce que l’écran ne me suffit plus. (d’où, ce que j’y fais en ce moment : le minimum, me suffit). 4 mai 2006 - 8:55 / disparates / notre petite note quotidiennepeur d’être trop inconsciente vraiment trop inconsciente et alors quoi il n’y aurait pas moyen d’en savoir plus / ils aiment et ils ne savent pas qu’ils aiment ils détestent et ils ne savent pas qu’ils détestent ils désirent et ils ne savent pas qu’ils désirent ils jouissent et ils ne savent pas qu’ils jouissent. croyez que je n’y crois plus, à ce que je fais, ici. ce blog. (ça ne me fait plus ). dans mes liens, j’ai rajouté un lien sur jiveziplak, parce qu’elle avant ça, l’autre qui m’en avait fait prendre un, non, qui m’avait fait rêver d’en prendre un, quelle perturbation, à ce moment-là , ç’avait été, comment s’appelle-t-elle déjà , virginie despentes. virgine despentes, écrivain, avait ouvert un blog. je m’attendais à ce qu’elle y parle de ce qui m’avait dérangée dans ses écrits, mais non. à cette époque-là , j’étais très sensible à ce que les femmes écrivaient pouvaient écrire de leur sexualité. à ce moment-là , ça me dérangeait terriblement, dans ma propre vie amoureuse, cette idée de n’être pas comme elles. j’aurais voulu rêver chercher tracer pointer ce qui d’elle à elle à elle aurait pu faire lien, j’aurais voulu qu’elles, qu’elles toutes m’en disent plus, et que je m’y retrouve. ne pas m’y retrouver alors que je croyais en ce qu’elles disaient c’était l’infinie perturbation. je me souviens d’une image qu’elle avait publié sur son blog, v. despentes, qui est venue m’encombrer au moment des gestes les plus. ensuite, à force d’être perturbée, le temps, l’écriture, les cris, les pleurs, les angoisses, les explications, l’analyse, j’aurai compris que la norme qu’il m’aurait plu d’établir, la norme de la sexualité féminine, il n’y en n’avait pas. compris, renoncé. bah bah bah. (malgré que toujours je n’aime pas déteste continue de détester la pornographie, et probablement qu’au travers de cette détestation je continue d’aimer à ce que je crois, continue de croire, de la sexualité féminine.) (à cette époque, j’étais très grands chevaux sur ces choses, très bataille, guerroyère, avec la tête secouée et la main portée à la bouche puis sur le coeur.) un homme, psychanalyste, hervé castanet, a sorti un livre, que je n’ai pas lu mais qui s’intitule : « Un monde sans réel ». eh bien, ce matin, il m’est apparu, que si c’est vrai, si c’est comme ça, non, je n’en veux pas. on fait comment pour aller vers le réel? (ceci rejoint, on l’aura noté, ce que je notais hier à propos du virtuel). 5 mai 2006 - 8:29 / disparates / time trackingà tous ceux qui comme moi, sont seuls, éprouvent des difficultés à gérer leur temps qu’ils passent devant un ordinateur, je ne saurais trop conseiller le WR Time Tracker de WR Consulting. 8 mai 2006 - 10:32 / disparates / notre petite note quotidiennealors c’est retour boulot boulot / et no dreams cette nuit_ tant mieux / 9 mai 2006 - 8:37 / disparates / |
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