À propos des to do lists
hier, je fais une recherche sur google sur le mot to do list, je tombe sur le to-do list magazine, qui se propose de « keeping track of our common compulsions » qui « uses the idea of a to do list as a jumping off point for exploration into the details of modern living » ( j’apprécie ) et un article dont l’auteur souligne la honte qui fut la sienne le jour où sa mère lui fit une remarque laissant entendre qu’elle avait lu sa to do list et comment depuis elle les tient secrètes, ses to do lists.
je pense à celles que je publie ici , m’obstine à montrer, ne tiens d’ailleurs que depuis que je les montre. y s’agit-il de m’empêcher de passer trop de temps à ce blog ? de m’excuser de n’en passer pas assez ? (de me faire honte ?) [ d’écrire ce qui s’écrit un symptôme d’alors voir que je l’aime faire que les autres l’aiment à leur tour me le passe. ]
les trucs difficiles (la liste des trucs difficiles, que je n’arrête pas de rebaptiser), ce sont les trucs que – ça c’est la fable – normalement ma mère doit faire pour moi. les trucs liés aux besoins aux soins , aux besoins la survie du corps aux soins sa satisfaction. c’est très fort ,c’est les seuls endroits de la vie où, si l’on s’y tient, maintient, je fais ça bien, la satisfaction est possible . c’est très fort, c’est les seuls endroits auxquels , on aura beau dire faire , on ne coupe pas ( sinon on meurt ) . donc la fable . c’est comme si . ma mère avait dit de vos corps, je m’occupe (de leur survie + satisfaction) , en échange de quoi du désir vous, vous prenez la charge ( ç’aurait été le désir pur, l’esprit ,, détaché du corps, immortel
or moi , j’ai réalisé mis du temps pour ça pas toujours très futfut parfois manque de célérité, que l’un (de l’esprit) ne va pas sans l’autre (du besoin) et que ça n’avait pas été une bonne chose d’ainsi séparer les deux, pas une bonne chose de faire comme si, entre les deux, y avaitpas quelque chose. ( quelque chose . une vie ) . j’ai réalisé et tout en même temps je me suis décidée pas souvent ça m’arrive, d’arriver à combiner (les choses basses du besoin (que ma mère aurait voulu se réserver ) et les (hautes choses du désir (auxquelles elle nous aurait destinés). entendez les choses basses (la satisfaction) les chauses ôtes (l’insatisfaction). entre (les deux (il ya ce qui fait qu’il n’y a pas de rapport entre) les deux).
bon. c’est pas tout ça.