et qui plus est,
c’est les vacances
parking 3.3
Queen Victoria, My father and all his tobacco loved you, I love you too in all your forms, the slim and lovely virgin floating among German beer, the mean governess of the huge pink maps, the solitary mourner of a prince. |
Queen Victoria, I am cold and rainy, I am dirty as a glass roof in a train station, I feel like an empty cast iron exhibition, I want ornaments on everything, because my love, she gone with other boys. |
Queen Victoria, do you have a punishment under the white lace, will you be short with her, will you make her read those little Bibles, will you spank her with a mechanical corset. I want her pure as power, I want her skin slightly musty with petticoats will you wash the easy bidet out of her head? |
Queen Victoria, I’m not much nourished by modern love, will you come into my life with your sorrow and your black carriages, And your perfect memories. |
Queen Victoria, the Twentieth Century belongs to you and me. Let us be two severe giants not less lonely for our partnership, who discolour test tubes in the halls of Science, who turn up unwelcome at every World’s Fair, heavy with proverbs and corrections, confusing the star-dazed tourists with our incomparable sense of loss. |
L. Cohen
parking 3.4
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<td width="160" style="vertical-align:middle; border-style:dashed; border-color:#999999;border-width:1px;" onmouseover="this.style.lineHeight=’1.2em’; this.style.color=’#FFFFFF’; this.style.borderColor=’#FFFFFF’;" onmouseout="this.style.lineHeight=’0.3em’; this.style.color=’#999999’; this.style.borderColor=’#999999’;">
Queen Victoria,<br />
My father and all his tobacco loved you,<br />
I love you too in all your forms,<br />
the slim and lovely virgin floating among German beer,<br />
the mean governess of the huge pink maps,<br />
the solitary mourner of a prince.</td>
<td width="160" style="vertical-align:middle;" onmouseover="this.style.lineHeight=’1.2em’; this.style.color=’#FFFFFF’;" onmouseout="this.style.lineHeight=’0.3em’; this.style.color=’#999999’;">
Queen Victoria,<br />
<font color="#FFFFFF">I am cold and rainy,</font><br />
<font color="#FFFFFF">I am dirty as a glass roof</font> in a train station,<br />
<font color="#FFFFFF">I feel like an empty cast iron exhibition,</font><br />
<font color="#FFFFFF">I want ornaments on everything,</font><br />
<font color="#FFFFFF">because my love, </font>she gone with other boys.</td>
<td width="160" style="vertical-align:middle;" onmouseover="this.style.lineHeight=’1.2em’; this.style.color=’#FFFFFF’;" onmouseout="this.style.lineHeight=’0.3em’; this.style.color=’#999999’;">
Queen Victoria,<br />
do you have a punishment under the white lace,<br />
will you be short with her, will you make her read those little Bibles,<br />
will you spank her with a mechanical corset.<br />
I want her pure as power, I want her skin slightly musty with petticoats<br />
will you wash the easy bidet out of her head?</td>
<td width="160" style="vertical-align:middle;" onmouseover="this.style.lineHeight=’1.2em’;this.style.color=’#FFFFFF’;" onmouseout="this.style.lineHeight=’0.3em’; this.style.color=’#999999’;">
Queen Victoria,<br />
I’m not much nourished by modern love,<br />
will you come into my life<br />
with your sorrow and your black carriages,<br />
And your perfect<br />
memories.</td>
<td width="160" style="vertical-align:middle;" onmouseover="this.style.lineHeight=’1.2em’; this.style.color=’#FFFFFF’;" onmouseout="this.style.lineHeight=’0.3em’; this.style.color=’#999999’;">
Queen Victoria,<br />
the Twentieth Century belongs to you and me.<br />
Let us be two severe giants not less lonely for our partnership,<br />
who discolour test tubes in the halls of Science,<br />
who turn up unwelcome at every World’s Fair,<br />
heavy with proverbs and corrections,<br />
confusing the star-dazed tourists<br />
with our incomparable sense of loss.</td>
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<div style="width:800px;text-align:right">L. Cohen</div>
Hello world!
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en garde III
des outrages
détruit le blog créé sur over-blog.com il y a
combien de temps déjà
est-ce que c’était 2 mois, peut-être.
coup de tête gueule
(s’annonce quelque chose de l’ordre du symptôme)
pourquoi faut-il toujours
toujours il faut que je croie
qu’on ne veut pas que je fasse ce que je suis en train de faire ou ce que je veux faire – mensonge — je veux dire mensonge ça n’est pas exactement ce que je crois. c’est ce que je dis, et à l’endroit au moment où je le dis, j’y crois. j’y crois et c’est cependant pure comédie. drame. dont je suis la première dupe. dès l’instant où je mets les pieds sur cette scène-là, cette scène où je dresse fièrement un doigt accusateur outragé sur l’autre, je ne peux plus en redescendre.
futur antérieur
je me serai laissée débordée.
(tiens, il y a deux nuits je n’ai pas pu m’endormir parce que je réfléchissais à l’usage du futur antérieur.)
trous noirs et déco
je me serai laissée débordée
c’est pour ça que je ne dors pas
c’est pour ça que j’ai détruit le précédent blog
c’est pour ça que je reconstruis celui-ci
que je chipote ici plutôt que de faire là -bas
pas que j’écrive quoi que ce soit non non,
je chipote ferme au template
(je m’occupe de la déco, faire en sorte qu’au plus ça aille au plus elle disparaisse, la déco. je veux tout l’écran à moi. j’ai viré le calendrier à gauche, sur une seule colonne. reste encore à virer ce qui se trouve au-dessus.)
je m’en veux beaucoup de passer tellement de temps à ça. enfin, je crois que je m’en veux. peut-être que je devrais l’accepter. mais je ne produis rien qui y ait du sens. au départ, je veux faire un blog parce que je suis obsédée par toutes sortes de choses qu’il me semble vouloir écrire. et puis, je ne fais rien d’autre que d’essayer d’aménager un réceptacle à ces éventuels écrits, auxquels d’ailleurs je pense de moins en moins. je ne fais que faire, je ne fais que continuer, sans pouvoir m’arrêter. sans plus penser à rien, uniquement parce que je n’arrive pas à faire autrement.
c’est parce que je suis tellement obsédée par tout ça, parce que ça me prend tellement de temps, que je pense que c’est mauvais. (si j’arrivais à le faire dans l’enthousiasme la fierté voire même la vantardise, ça irait beaucoup mieux. or, comme je ne fais pas exactement ce que je pensais faire, juste écrire, je ne peux pas être contente de ce que je fais. et c’est comme si j’essayais de faire tout ça en me glissant dans un trou noir du temps : que ça ne compte pas. dans un trou noir du sentiment.)
to do list :: ce blog (II)
- la navigation des previous et des nexts :
pour l’index,pour les catégories,pour les archives
sur l’index, plutôt les derniers articles modifiés (combien?)- le passer en français
virer tout(ou presque tout) ce qui se trouve dans le haut de page(fait, le 13 ou par là , le 13 de septembre.)http://tobeor.disparates.org — ouine?trop cher- ajouter la date de modif. du post
- la page résultat de recherche –
avant ça réintégrer le formulaire de recherche… faire une navig bas de pageannuléfaire une page spéciale pour la catégorie images (un seul post par page ou posts alignés horizontalement)annulé le 29.09, peut-être plutôt supprimer catégorie images- faire une page contact
[ comme si – le surmoi , la parole même
Le surmoi a un rapport avec la loi, et en même temps c’est une loi insensée, qui va jusqu’à être la méconnaissance de la loi. C’est toujours ainsi que nous voyons agir chez le névrosé le surmoi. N’est-ce pas parce que la morale du névrosé est une morale insensée, destructive, purement opprimante, presque toujours anti-légale, qu’il a fallu élaborer dans l’analyse la fonction du surmoi?
Le surmoi est à la fois la loi et sa destruction. En cela, il est la parole même, le commandement de la loi, pour autant qu’il n’en reste plus que la racine. La loi se réduit tout entière à quelque chose qu’on ne peut même pas exprimer, comme le Tu dois, qui est une parole privée de tous ses sens. C’est dans ce sens que le surmoi finit par s’identifier à ce qu’il y a seulement de plus ravageant, de plus fascinant, dans les expériences primitives du sujet. Il finit par s’identifier à ce que j’appelle la figure féroce, aux figures que nous pouvons lier aux traumatismes primitifs, quels qu’ils soient, que l’enfant a subis.
to do list :: ce jour
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[ comme si – ici , les hors
je voulais dire comme si la parole . je voulais dire ici , ces lieux qui n’en sont pas ( hors-lieux de, les blogs , internet , etcaetera) , comme si lieux de parole , la voix en moins . je parle de la voix débarrassée de sa chair , voix : viande en moins . son seul os , comme qu idirait . – où la chair serait le réel la présence réelle physique ( : péché (de chair mon père) – l’os , ce qu’il en reste , subsiste , pendant qq temps ( le signifiant aux allures clean sèches ( pense à l’amaigrie .
surmoi, coeur net
si je m’intéresse au surmoi si je m’y suis intéressée c’est que c’est qu’il m’est arrivé de me dire que je devais en avoir un de solide , de surmoi . .
en avoir le coeur net .
effleurée ça m’est venu à force ça
pourrait se dire aussi :
EST-CE
QUE je n’en tiendrais pas une
sacrée
tranche , moi, de surmoi.
EST-CE
QUE ça ne serait pas ça, la
cause de de tous mes
troublestroublestroubles
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