du désir d’être castrée
voix intérieure
la castration l’histoire le fractionnement |
la jouissance la compacité le temps vertical l’instant (le continu) l’éternité |
la parole la castration la diachronie | |
s’oublier devant un ordinateur s’oublier devant la télévision ne pas voir le temps passer | |
le blog comme la parole présent continu | |
alors qu’est-ce qui distingue la parole du blog la voix, le corps alors ce serait le corps, la castration, |
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voix des ondes : hatzveld : à la guerre on vit essentiellement au présent | |
le désêtre le désir | la synchronie l’être (l’identification) la pétrification |
écoutez franchement, je n’en sais rien. la castration, je n’en sais rien, si c’est ce que je dis, ce que j’écris ici . je la cherche, je cherche ce qu’elle, serait,
puisque
je la suppose être ce que je veux éviter à tout prix (l’inconnue cause de ma peur)
tout en manquant toujours, manquant
manquant de l’être, castrée.
de l’être, castrée
(fille fille fille) , (pas-tout x phi de x)
1 temps, perplexité
et comme de l’être, castrée, il est temps que je ne l’attende plus
plus de l’être par les autres – pour pouvoir les en accuser ensuite
(ma condition, ma condition, où à quoi je suis réduite regardez oh père pourquoi maman si tu voyais ta fille
que je cesse de jouer à ce petit jeu ridicule,
où je m’rejoue 1(scène première (1(scène mythique (avec 2 personnages plutôt qu’un seul
j’essaie de savoir ce qu’elle est, réellement , ce qu’elle serait
au partir de mes propres symptômes
donc, symptôme : je n’arrive pas à connaître l’histoire, j’en déduis que l’histoire, c’est la castration. or, dans le symptôme, il y a toujours une jouissance dont on ne peut pas vouloir guérir, il y a toujours un qq chose qui dépasse, lui, aussi bien le désir que la castration. je voudrais savoir ce que c’est ne pas connaître l’histoire et ce qui se sait, là dedans, dans ce désir-là , de ne pas savoir. je ne fais pas tout ceci uniquement pour connaître l’histoire, me rendre, in fine, accessible un certain savoir, de type universitaire, je le fais pour savoir et faire savoir ce qui s’oppose justement à ce savoir. pour que ce savoir-là , puisse compter aussi. jean hatzveld, encore, ce midi, à la guerre, dit-il, on y va, pour pouvoir l’écrire . si la portée du désir ne serait pas toujours éthique : en dire sur le réel, de la jouissance dire qq chose.
voix des ondes, à l’instant : de lacan : « un corps, c’est de la parole tel qu’il surgit ».