fermeture – je ferme les murs je mets les portes, le toit, les fenêtres
très bien, je m’en vais. (vous allez voir que je vais le regretter, cet endroit.) je close le place.
ouverture
pendant 2 jours, j’ai fait ça, j’ai essayé d’ouvrir ailleurs (un autre blog, qui se serait appelé les disparates)
les points
et puis, il y aurait les phrases au bout desquelles le point ne vient pas. et ça serait comme ça. voilà .
donnez-nous plutôt de la légèreté, amen
crucifiée au travail pour la gloire d’aucun père (ou d’un père à ressusciter, re-susciter).
(j’ai beau faire, je ressasse.
et c’est pourquoi
j’ai opté pour
le n’importe quoi. n’importe quoi plutôt qu’une chose si sanctifiée, plutôt qu’une cause si sanctifiée, qu’elle en devienne impossible. or, il n’est de cause, réellement, qu’impossible. dès lors, celle qui le serait devenue, impossible, à force de sanctification ne saurait l’être, réellement impossible, puisqu’elle existe.)
(si l’art n’a plus, pour se justifier, que son nom d’art, alors il s’agit de savoir ce qu’on pourra y mettre, derrière ce nom d’art.)
(le nom propre de l’art, si l’art était un nom propre, t. de duve)
(à mon sens, à ce stade, eh pardon, pas d’autre art que celui d’y faire, de savoir y faire avec la façon dont est mal foutu. et savoir y faire, ce serait en rendre compte.)
(mais je dis toujours la même chose. je toujours la même chose.)
mots-clé : n’importe quoi vs idéal, art , nom propre , chose, cause, et autre chose.
le dimanche de la vie
me suis acheté un manteau avec une ceinture.
(viens de lire préface très intéressante sur la fonction des italiques dans son oeuvre d’un livre de gaston leroux. )
l’asperge, suite
or, en ce temps-là , il y a eu moment où c’était fait,
l’asperge était extraite.
évidemment, ça se serait fait sur le bord de la table, au bord du vide, mais il y avait le cadre il y avait le nom il y avait la signature, eût-elle été pâteuse, parachèvement (et de l’objet la réalité rendue n’était pas que
tandis que nous, c’est comme si de cette extraction, on ne sortait pas, on ne sortait plus.
et si le signifiant a fonction de porte (il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée), cette fonction, qui délimite un dedans et un dehors, n’est plus très assumée/assurée
comme si de de l’être-même de la porte nous ne sortions plus. de son bois dont nous nous chauffons, dont les gonds jouent au gré de vents auxquels nous ne pouvons rien, si forts parfois que nous en sortons. des gonds sortons et alors
/ cette chute – à laquelle l’asperge aurait pu sembler promise
(d’éthique: d’un rendre compte de l’objet, sans se confondre avec lui, en s’en séparant
(à propos de cette asperge cet article, par Anne Beyaert, Une asperge seule, dont ce paragraphe éclaire à mes yeux d’une autre façon le propos tenu ici :
mais quel objet sommes-nous . quel est cet objet que nous sommes . serions .
partout beau (n’importe quoi, suite)
Des photos, j’en fais. Parfois beaucoup. (Dont je ne sais que faire.) Et quand, je commence à en faire, comme hier, il a souvent un moment où je me dis « Partout, beau ». Le monde devient partout beau – n’importe quoi.
N’importe quoi, tout.
morning news
j’apprends que si je travaille 3 heures par jour, cela devrait suffire à combler notre déficit. bonne nouvelle. mais est-ce que ça paye ses études, à jules? je me lave le visage à l’eau froide.
angélisme
Après-coup
Il est tellement plus facile de s’imaginer des ennemis que de.
Que de quoi? C’est ce que je ne sais pas. Ou est-ce que je le sais?
done
day 1:
mardi 14, travaillé 3h30 + 2h30 = 6h
day2 :
mercredi 15 février 2006 :
12h15 -13h15 = 1
14h – 17h30 = 2h40
$hoursaday== »3″
$totdue=$nbjr*$hoursaday
$tot: 9h40
$surp = « $tot – $totdue »= ;
echo = » your surp is $surp »;
my surp is 3h40 and you go to fucking hell
IMAGE
prise
I run for the bus now, dear
While riding I think of us dear
I say a little prayer for you
At work I just take time
and all through my coffee break time
I say a little prayer for you
VIVE OLD IMAGE IS LOST
journal
tu sais je confonds toujours février et septembre. pour moi, ce sont deux mois deuxièmes. février lui est bien deuxième. et j’ai toujours cru que je prenais septembre comme deuxième, comme 02, parce que c’était, ç’avait été pendant longtemps, le mois de la rentrée. mais alors il aurait dû être 01, non? premier. c’est donc que c’était août, d’août, le mois, premier. le terrible mois d’août.
l’épouvantable livre, cette nuit. de gaston leroux.
aussi, tu vois, je ne me souviens jamais, si c’est en septembre ou en février, qu’il a commis son crime, mon oncle. son double crime.
en février, c’est ma fête.
en septembre, il y a eu le 11. (et donc ce mois, ces jours-ci, je me suis demandée si le onze, c’était pas en février, plutôt.)
alors, je crois que c’était un 4 septembre que ça a eu lieu, le meurtre.
en fait c’est le 13, que ça a eu lieu, le double-meurtre. du 12 au 13, je crois.
et en octobre, c’est mon anniversaire. tu vois, j’ai failli te dire, et le mois prochain, en 10, c’est mon anniversaire. comme si février était juste avant octobre, puisqu’il est deux, c’est-à -dire qu’il est neuf. c’est-à -dire que je les confonds complètement, septembre et février.
ça n’a vraiment plus la moindre importance, aujourd’hui.
j’ai rouvert to be or ailleurs. j’ai encore un peu de nettoyage à faire. on verra si ça aide. je n’oserais pas te dire que je passe à autre chose. je voudrais faire en sorte de ne plus me soucier, ne plus devoir me soucier de mise en page. je laisse tomber cette idée de faire de l’image avec du texte. malgré que sur internet, ça soit vraiment difficile. ça soit même contre nature. puisque que rien ne fera qu’on ne se trouve pas ici sur un écran.
je t’embrasse,