16 octobre 2005

je vais bien

je n’ai pas le temps d’écrire ici . je ne le prends plus .

vouloir coller à  la réalité pour la décrire est absurde, puisqu’il y a toujours qq chose qui la dépasse de très loin. (à  ce propos lu qq chose de totalement débile hier dans le monde à  propos d’une so called realtitY* : courbet comparé au loft. le gars se veut-il subversif, il n’est qu’un idiot, doublé d’un vendu.**)

*
céder ce qu’il faut de jouissance afin de ne pas avoir à  céder sur mon désir.

*
je pensais : « les faux impossibles » : ceux qui se mettent en place pour que le désir ne trouve pas son chemin, sa limite.

*
lacan : la jouissance est une limite.
j’ajoute : alors, elle en ferait office tant que le désir est à  l’oeuvre. tant qu’elle s’inscrit dans le champ du désir. hors ce champ, elle est limite illimitée.

lacan encore : il n’y a que l’amour qui fasse que la jouissance condescende au désir.

voilà , je ne peux pas en dire + en ce moment. l’écriture m’a remise sur le rail du projet. de la limite.

*realtitY, je ne pense pas que ce soit le mot qui est utilisé, le néologisme produit pour l’occasion, peu importe, il ne vaut pas la peine que je me lève pour le retrouver.
** il n’y a plus d’autre cause au vendu que celle du capitaliste.

Publié dans to be or |